tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post6807826887192679276..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: Contre-transfert en médecine générale (approche partiale). Histoire de consultation 170.JC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-40767622840361179912014-06-05T11:53:34.019+02:002014-06-05T11:53:34.019+02:00Mon expérience : je débute habituellement par quel...Mon expérience : je débute habituellement par quelques consultations "organiques" aidées si besoin d'avis spécialisés, mais au terme de cette recherche qui vise surtout à me rassurer de mon ignorance, je conclus un contrat (oral et parfois tacite) sur les objectif du suivi : accompagner, sans chercher un diagnostic qui n'existe pas. J'essaie de ne pas juger et de taire certaines de mes opinions quand elles ne sont pas dans mon coeur de métier (par ex : divorcer ou pas ?). Par contre je reste solide sur mon coeur de métier (prescrire ou déprescrire un médicament notamment).<br />Est-ce que ce sont des consultations utiles ? si oui utiles en quoi ? est-ce qu'en acceptant de recevoir ces patients sans filtrer je ne participe pas à la surmédicalisation de l'existence ? Sûrement que oui, cependant allez trouver un espace de parole libre et non jugeant aujourd'hui, pas facile… Je crois que le cabinet médical répond à ce besoin social majeur.<br />amitiésDr Pierre Frouardnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-13676961292889372762014-06-04T16:38:38.177+02:002014-06-04T16:38:38.177+02:00@ Dr 16.
Les personnes qui souffrent de symptômes ...@ Dr 16.<br />Les personnes qui souffrent de symptômes multiples qui ne rentrent dans aucune "case" connue, et qui de plus, sont dans des situations psycho sociales difficiles, sont un redoutable défi pour le généraliste.<br />Que faire de cette somme de symptômes ? Avec le souci de ne pas passer à coté de quelque chose d'important, on en vient à douter de tout. <br />Personne (et surtout pas à la faculté ou dans les stages)ne m'a appris comment faire dans ces situations.<br />Ou plutôt si, la phrase magique suivante: c'est psycho somatique, ou bien encore, c'est fonctionnel, circulez il n'y rien à voir...<br />Quelques dizaines d'années plus tard avec mon expérience de généraliste, je me suis aperçu que ces patients étaient méprisés, mal reçus, suspectés d'être manipulateurs, (on a même dit qu'il avaient des avantages secondaires à leur souffrance...).<br />Moi aussi j'ai eu un peu honte d'avoir un moment adhéré à une vision "psy" de ces personnes.<br />Aujourd'hui, je me dit que je ne connais pas tout, et que le "jesaipaséquoi" est la position la plus respectueuse et réaliste que je peux avoir.<br />Curieusement, j'ai remarqué que le respect accordé à ces personnes comme à d'autres, modifie considérablement ces consultations qui se passent beaucoup mieux.<br />De façon subjective je trouve qu'en agissant ainsi, ces personnes vont souvent mieux, même si ces symptômes sont chroniques.<br />Voila, c'est mon expérience parfaitement subjective.<br /><br />Dr Billnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-12776719780879945082014-06-01T22:25:01.566+02:002014-06-01T22:25:01.566+02:00Prends ta gosse et tais toi, au lieu de tire toi, ...Prends ta gosse et tais toi, au lieu de tire toi, je pense. lapsang souchong, i mean lapsus freudian. ;-)christian lehmannnoreply@blogger.com