tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post1529063472558772674..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: Refondation de la médecine générale. Réflexion 8 : la question fondamentale des patients.JC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger40125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-20427783139937152222013-10-01T13:42:12.897+02:002013-10-01T13:42:12.897+02:00J'ai bien ri, merci Popper13 ! Vous avez cepen...J'ai bien ri, merci Popper13 ! Vous avez cependant oublié de mentionner que l'addiction à l'homéopathie pourrait favoriser le diabète de type 2. CMT va sûrement nous dénicher une étude qui le démontre.<br /><br />Pour contrer ce risque je propose de mettre au point la e-homéopathie : chaque produit a sa signature vibratoire. Ainsi, arnica 9CH a une signature différente d'arnica 5 CH. Les ayant trouvées on doit pouvoir les reproduire par des moyens électroniques. On pourrait ainsi aider les accrocs à l'homéopathie à assouvir leurs pulsions addictives sans risquer un diabète. Y'a dl'argent à gagner !BGnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-66492363486439629012013-09-30T22:36:05.473+02:002013-09-30T22:36:05.473+02:00Merci à CMT pour ce texte, qui m'a permis de d...Merci à CMT pour ce texte, qui m'a permis de décortiquer l'addiction à l'homéopathie de façon 1) clinique (Ah l'intersubjectivité du patient et du médecin...l'effet placebo... l'incapacité pour certains de maitriser leur consommation...) de façon 2) scientifique (Ah le nombre d'Avogrado.. la mémoire de l'eau... le double aveugle..) et de façon 3) Santé Publique ( ah l'exception française...les profits de Boiron qui n'aide pas les patients dépendants à s'en sortir... le remboursement de la Sécu!!...) .<br /> Je vois bien un jeu en ligne qui permettrait de gagner des granules homéopathiques de morphine et de cannabis qui soigneraient la gueule de bois et permettraient de baiser à c... rabattues.<br />Non humour mis à part , très beau texte, merci Popper31noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-56221395467734290702013-09-30T17:38:45.279+02:002013-09-30T17:38:45.279+02:00@ docteur 16.
A propos des résultats en addictolo...@ docteur 16.<br /><br />A propos des résultats en addictologie. <br />L'addictologie a beaucoup de points communs avec la médecine générale. <br />Comme pour toute pathologie chronique, il faut tenir compte de l'EBM pour évaluer" l'efficacité " de l'addictologie.<br />Pour faire une analogie prenons l'exemple du diabète. En médecine générale il va falloir prescrire le traitement adapte, évaluer le résultat sur la glycémie , la tension artérielle, la fonction rénale, ....mais aussi évaluer la tolérance à ce traitement, son observance, ses effets secondaires ainsi que Les conseils d'hygiène de vie.<br />En addictologie c'est la même chose. C'est surtout l'évaluation de ce que peut accepter le patient comme changement dans son comportement qui importe. Ces changements sont parfois infimes: accepter un suivi ou se servir de matériel stérile ou utiliser la e cigarette ou ne plus prendre de cannabis avant d'aller au travail ou ne plus prendre d'alcool avant de conduire....<br />L'évaluation de ce travail ne se fait pas uniquement sur le critère de l'arrêt du comportement addictif. Si c'est votre seul critère alors effectivement les résultats sont maigres, aussi maigres que guérir un diabète.<br />@Tsange et cmt<br />Heureusement que nous croyons à ce que nous faisons. Quelque soient les thérapeutiques utilisées, la façon de la dispenser va conditionner son acceptabilité et ses effets.Dr Billnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-77065427253855889172013-09-30T13:08:18.619+02:002013-09-30T13:08:18.619+02:00A tsange et martine brönner,
Autant dans la plupa...A tsange et martine brönner,<br /><br />Autant dans la plupart des activités de la vie "y croire" est un agage de réussite sans qu'il y ait de revers de la médaille (croire en son travail, en ses projets), autant en médecine c'est une arme à double tranchant.<br /><br />Parce que, entre autres,on peut appliquer exactement le même raisonnement à la médecine classique et en déduire que le médecin doit montrer qu'il y croit vraiment chaque fois qu'il prescrit un médicament ("vous allez voir, ce médicament marche du tonnerre"). Cela peut apporter un plus en matière d'autosuggestion et d'efficacité. Mais le problème est d'une part que le médecin ne peut pas passer sous silence les effets indésirabels d'un médicament, sous peine que le patient se sente bien seul s'ils se manifestent, et, d'autre part le prix à payer pour "y croire" est tout de même de rester dans l'ignorance et dans la dépendance. Et d'aller vers l'escalade et la surmédicalisation.<br /><br />Pour ma part je trouve que le prix est un peu lorud à payer, d'autres, éventuellement intéressés, trouveront que c'est le juste prix d'un différentiel d'efficacité.CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-3816666499693663552013-09-30T09:49:22.873+02:002013-09-30T09:49:22.873+02:00Toute petite réflexion par rapport à l'homéopa...Toute petite réflexion par rapport à l'homéopathie:<br />-ça marche sur les animaux<br />-une expérimentation que je ne peux pas citer (honte à moi, n'étant pas méthodique j'ai perdu les traces) signale que "ça marche" uniquement si le médecin prescripteur y "croit" . Ce qui montrerait en quelque sorte que ça fonctionne chez les animaux parce que les maîtres qui donnent en sont convaincus. Compliqué tout ça...J'ai essayé moi, pour ma ménopause, mais je ricanais tellement dans ma tête...et mon médecin prescripteur n'y croyait sans doute pas plus que moi que l'échec était inévitable. D'où l'idée qu'il faudrait un peu de croyance de part et d'autre peut-être! Alors pour les hommes et les femmes de peu de foi!!!martine bronnernoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-83138266449131051242013-09-30T08:10:27.193+02:002013-09-30T08:10:27.193+02:00@CMT
Merci pour ces explications, c'est très i...@CMT<br />Merci pour ces explications, c'est très intéressant.<br /><br />L'exemple de l'homéopathie, qui a effectivement une grande tradition en France (on en trouve déjà les louanges dans les romans de Féval père) alors qu'elle a beaucoup d'ennemis acharnés parmi les médecins de son pays d'origine (qui font valoir l'absence de résultats significatifs d'études rigoureuses de type pharmaceutique), montre que lorsque la prise de plusieurs médicaments n'est pas une nécessité médicale, mais une addiction à une sorte de rituel magique contre la mort, il reste la possibilité de remplacer tel ou tel médicament médicalement superflu ou dangereux par un médicament homéopathique ne contenant que des traces ou que la «mémoire» de la molécule annoncée dans le nom du médicament.<br />On garde l'addiction, on l'utilise même pour obtenir les effets bénéfiques du placebo (qui peuvent être très consistants), on obtient peut-être même des effets «réels» (au-delà des effets placebo) si l'homéopathie en a malgré les échecs dans les études, et on réduit le nombre des médicaments biochimiquement actifs à un nombre permettant d'en évaluer à peu près les actions et interactions. C'est donc tout bénéfice.<br /><br />Là où ça se complique, c'est si le médecin «allopathe» tient à instruire le patient que l'homéopathie est une fumisterie ou si l'homéopathe instruit le patient que toute prise de «médicaments lourds» empêchera la guérison par l'homéopathie. Il y a aussi le problème éthique de l'usage détourné de l'homéopathie en tant que placebo, qui est forcément une forme de mensonge si on ne croit pas à l'utilité d'un placebo / n'admet pas qu'une méthode non scientifique puisse être efficace à sa façon. <br /><br />Le procédé en soi permettrait sur le plan concret de satisfaire à la fois les objectifs du patient, les objectifs thérapeutiques du médecin et les objectifs de sécurité. Il est vrai qu'on n'aura pas sauvé le patient de son addiction, mais son addiction ne menacera plus trop sa santé. Personnellement, je trouve que c'est déjà un beau résultat.tsangehttps://www.blogger.com/profile/14727196637630669158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-6236354570451136212013-09-29T20:34:19.168+02:002013-09-29T20:34:19.168+02:002 l’APPROCHE SCIENTIFIQUE vise à identifier le fa...2 l’APPROCHE SCIENTIFIQUE vise à identifier le facteur X biologique commun aux addictions. Elle ne s’adresse pas à l’aspect subjectif comme la clinique mais au monde physique. Elle a conduit à ériger des modèles neurobiologiques, qui ne sont que des modèles, c'est-à-dire des hypothèses, et qui ne sont pas satisfaisants, même s’ils permettent de mieux comprendre le fonctionnement cérébral. Ils ne sont pas satisfaisants, et c’est moi qui l’ajoute, parce que l’on a pris des raccourcis trop rapides et hypersimplificateurs entre les observations ponctuelles et très partielles faites au niveau du fonctionnement cérébral et les manifestations cliniques. Si on trouve certaines modifications neurochimiques chez des personnes qui sont tristes, pexp, on ne peut pas en déduire qu’ elles sont tristes PARCE QUE ces modifications se sont produit. Prendre les modèles neurobiologiques pour argent comptant a conduit à des désastres de santé publique, comme dans le cas du traitement des enfants TDAH.<br /><br />3 l’APPROCHE DE SANTE PUBLIQUE , qui vise à contrôler l’environnement pour atténuer les conséquences de santé publique de l’usage de substances potentiellement addictogènes. Cela comprend donc, au-delà de l’addiction les usages nocifs de substances ou des conduties à problèmes ou nocifs (jeux d’argent p exp). D’un point de vue de santé publique la subjectivité n’a plus guère de place car il s’agit de réduire les conséquences des conduites potentiellement addictives.<br /><br />En première approche, intuitivement, si une conduite est problématique en termes de conséquences et que la quantité d’usages problématiques d’un produit est proportionnelle au nombre de consommateurs il suffit de réduire le nombre de consommateurs pour atténuer le problème.<br /><br />A l’extrême c’est le modèle prohibtioniste, c'est-à-dire l’interdiction absolue de consommation, mais dans les exemples connus (alcool aux Etas Unis, héroïne en Iran) les tentatives de prohibition ont provoqué l’effet inverse et développé l’usage du produit.<br /><br />A l’autre extrême c’est le modèle libéral absolu (celui prôné par les vapoteurs) qui serait de s’en remettre totalement au bon vouloir des opérateurs qui viseraient à atténuer à postériori, par des actions spécifiques, les conséquences des addictions qu’ils ont développé. La gestion de l’alcool et du tabac sont des modèles semi-libéraux (un laisser faire réglementé) mais ils aboutissent au développement à grande échelle de la consommation de ces produits. Les allégations des producteurs et négociants pour défendre se modèle et qui disent que eux-mêmes devraient, ne serait-ce que pour des questions d’image, chercher à réguler la consommation ne tient pas devant la logique économique car, pour l’alcool p exp, 10-20% des consommateurs sont à l’origine de la majorité des revenus du secteur. Les conflits d’intérêts sont évidents et ne peuvent qu’aggraver constamment la situation en l’absence d’un arbitre extérieur (pouvoirs publics, Etat). Dans le modèle libéral les individus sont renvoyés à eux-mêmes, à leur fragilité (génétique p exp) et à leur responsabilité individuelle.<br /><br />Les modèles qui recherchent des compromis, comme celui de l’héroïne (prohibition mais prise en charge et réduction des risques) ou des jeux d’argent en ligne semblent donner des bien meilleurs résultats en ce qui concerne le contrôle de la diffusion et de la banalisation des conduites à risque.<br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-80131665856277719552013-09-29T20:33:18.035+02:002013-09-29T20:33:18.035+02:00Dans un texte très intéressant, synthétique et réf...Dans un texte très intéressant, synthétique et référencé, Marc Valleur de l’institut Marmottan explique quelles sont les trois approches de l’addiction et en quoi celles-ci ne se recoupent pas, mais comment on peut parfois les confondre et donc parler de concepts différents tout en s’imaginant parler de la même chose http://www.hopital-marmottan.fr/spip/IMG/pdf/Marc_Valleur_-_Definir_l_addiction.pdf . Selon l’approche adoptée les conséquences en termes de politique de prévention ne sont pas les mêmes. En même temps les expériences passées balisent le chemin à suivre.<br />Je vais résumer les idées principales du texte mais cela vaut vraiment la peine de le lire entièrement.<br />Je commence par les constats généraux. Dans une population donnée, quelque soit le produit étudié, il y a des consommateurs et des non consommateurs. Cela permet d’avoir une approche du « risque » de consommation qui ne peut être que comparative et peut se faire de deux manières : 1- chercher chez les personnes « à risque » des facteurs de vulnérabilité (ce seraient, p exp, les hypothèses psychanalytiques ou neurobiologiques) 2-comparer les deux populations, consommateurs et non consommateurs, et dégager des caractéristiques générales qui seraient liées au risque (niveau de revenu, niveau d’éducation, d’information…). Dans la première approche on cherche des facteurs individuels, dans la deuxième, des facteurs environnementaux.<br />L’idée du « prevention paradox » est que si la consommation concernait l’ensemble de la population le problème environnemental pourrait être nié ou passer inaperçu puisqu’il n’y aurait pas de comparaison possible. P exp si toute la population fumait deux paquets de cigarettes par jour, le cancer du poumon serait réputé être lié uniquement à des facteurs génétiques puisqu’on n’aurait pas pu remarquer la plus grande fréquence du cancer du poumon chez les fumeurs. (p 14)<br />Une autre donnée d’observation est que, quel que soit le produit ou comportement concerné, parmi les consommateurs, les malades sont toujours minoritaires. C’est ce que Valleur appelle la « pyramide du risque ». Les expérimentateurs ou consommateurs sans problèmes avérés sont majoritaires, puis il y a les consommateurs à problèmes puis ceux qui sont malades. Cela est vrai qu’il s’agisse d’héroïne ,de tabac ou de tout autre produit ou conduite addictogène.<br />Pour les trois types d’approches, Valleur distingue 1- APPROCHE CLINIQUE pour laquelle la définition pose déjà problème puisqu’il s’agit de ne pas inclure d’office des individus qui ne se sentent pas malades. Car alors, hors produits illégaux, l’intervention thérapeutique n’a pas de légitimité. On s’accorde sur une définition pragmatique qui repose sur le critère « tentatives<br />répétées, mais infructueuses, de réduire ou cesser la conduite ». Mais dès lors que le patient n’a pas envie de changer sa conduite la seule légitimité de l’intervention du thérapeute est de susciter dans le patient l’envie de changer son comportement selon « modèle transthéorique du changement » de Prochaska et Di Clemente, ou aux approches de type « motivationnel » (Miller et Rollnick) . L’approche clinique se fonde sur l’intention du clinicien et sur la demande du patient et n’est pas une approche scientifique, même si le clinicien a pu se bricoler des modèles de compréhension qui empruntent à l’approche scientifique, à la psychanalyse etc. Modèles qui ne résisteraient pas à une analyse mais qui sont opérationnels d’après Valleur. On est dans un cadre où c’est l’intersubjectivité qui domine. Et Valleur précise ceci : « Quelle que soit l’importance des outils, notamment médicamenteux, dont il dispose, le coeur du traitement ne réside jamais dans son aspect « technologique ». <br />Dans une société où tout le monde fumerait, fumer serait la norme. La maladie au sens clinique est une construction qui naît de la rencontre du sentiment d’aliénation du patient et d’une norme sociale sous un regard clinique. <br /><br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-5509389416952356482013-09-29T20:31:38.404+02:002013-09-29T20:31:38.404+02:00A tsange
« Il n'est pas utile de vouloir «gagn...A tsange<br />« Il n'est pas utile de vouloir «gagner» une discussion. Il n'y a rien à gagner dans une discussion, sauf quelques nouvelles impulsions à la réflexion et peut-être une meilleure compréhension des raisonnements d'autres personnes. »<br />Je suis d’accord avec ça même si je peux un peu l’oublier dans le feu de l’action.<br />Je prends cette phrase de Jean-Claude dans le post : « la malice des patients elle est d'instrumentaliser les médecins amis en les bombardant experts ». La malice des patients est aussi d’obtenir ce qu’ils désirent des médecins dont ils connaissent ou ils subodorent la double casquette : à la fois soignants et libéraux en concurrence avec d’autres libéraux donc soucieux de complaire le patient/client. Et souvent les patients veulent des médicaments.<br />Il y a-t-il une addiction des français aux médicaments ?<br />En tous cas bien que s’inspirant d’approches en apparence fondamentalement différentes par rapport à la maladie et à la médecine l’homéopathie et la médecine classique ne se sont pas concurrencées mais se sont renforcées mutuellement. Les français constituent 1% de la population mondiale mais consommeraient 20% des médicaments homéopathiques consommés dans le monde en même temps qu’ils sont les plus gros consommateurs de médicaments classiques. Peut-être parce que ce qui sous tend cette surconsommation est commun aux deux approches. A savoir que les deux approches génèrent la surconsommation en raison de l’absence d’autonomie du patient face à la gestion de la maladie (autonomie au sens illitchien dirait JCG) qui constitue le facteur commun. Absence d’autonomie qui s’apprend et est transmise par la culture et l’éducation. On oublie trop souvent que l’addiction résulte de la rencontre d’un environnement facilitateur et d’une fragilité individuelle.<br />La définition de l’addiction ne fait pas consensus. Le concept s’applique plutôt à des produits spécifiques ou à des comportements spécifiques (addiction aux jeux d’argent, cyberaddiction, addiction au sexe…). Dans tous les cas la consommation du produit ou du comportement a une place bien particulière dans l’économie psychique de l’individu et sa répétition vise à diminuer transitoirement l’anxiété ou la tension ressenties.CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-71151173234111387782013-09-29T13:10:15.792+02:002013-09-29T13:10:15.792+02:00Pas de problème.
Au plaisir de vous lire (j'a...Pas de problème.<br /><br />Au plaisir de vous lire (j'aime beaucoup votre blog).tsangehttps://www.blogger.com/profile/14727196637630669158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-59065005578957716992013-09-29T12:39:29.333+02:002013-09-29T12:39:29.333+02:00@ tsange
Désolé.
L'anonymat me fait mélanger ...@ tsange<br />Désolé. <br />L'anonymat me fait mélanger les commentateurs.<br />Je bats ma coulpe.<br />J'ai confondu par paresse les arguments des pro e-cig.<br />Cette expérience me culpabilise.<br />J'essaierai de ne pas recommencer.<br />Bonne journée.JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-65422727671565212512013-09-29T12:02:41.724+02:002013-09-29T12:02:41.724+02:00Docteurdu16 m'attribue: toute personne qui n&#...Docteurdu16 m'attribue: <i>toute personne qui n'est pas transportée par la modernité essentielle de l'e-cig est un loser, un réactionnaire, j'en passe et des meilleures.</i><br /><br />Je n'ai pourtant jamais pensé ni écrit ça. Dans la discussion sur la e-cigarette, j'ai donné quelques informations qui manquaient visiblement, parce que je pensais que ce serait intéressant pour des gens discutant sur ce sujet. <br />Je n'ai traité personne d'enfant mental ou de dérangé dont il ne faut pas considérer les opinions, je n'ai accusé personne d'être dans la poche d'une industrie quelconque et je n'ai pas parodié pour le sport les exigences présentées pour la e-cigarette. Je pense avoir été constructive, pas du tout blanc/noir et certainement pas agressive.<br /><br />Enfin, je n'ai pas pris votre billet actuel pour un billet sur la e-cigarette et je n'y parlais pas de vapotage, mais d'approches générales et de communication.tsangehttps://www.blogger.com/profile/14727196637630669158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-58776695011631029352013-09-29T10:53:12.525+02:002013-09-29T10:53:12.525+02:00@ tsange
Je suis assez d'accord : panurgisme p...@ tsange<br />Je suis assez d'accord : panurgisme pourrait être élégamment remplacé par conformisme.<br />Oh là là : existe-t-il une philosophie occidentale et une philosophie orientale ? Je n'en crois rien.<br />Je vous rappelle que l'objet de ce post, je ne parle pas des commentaires très riches qui m'ont appris beaucoup de choses, était de dire : 1) Je n'ai rien contre la e-cig ; 2) Mais les arguments des pro e-cig sont peu étayés.<br />C'est vous qui faites du blanc / noir : toute personne qui n'est pas transportée par la modernité essentielle de l'e-cig est un loser, un réactionnaire, j'en passe et des meilleures.<br />Je ne le crois pas.<br />Bonne journée.JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-13545016384407290042013-09-29T09:27:29.606+02:002013-09-29T09:27:29.606+02:00C'est un peu ennuyeux quand même, si tous les ...C'est un peu ennuyeux quand même, si tous les groupes impliqués se traitent mutuellement de panurgistes, s'appuient sur leurs impressions et exigent en même temps des preuves solides de toute opinion déviant de leurs propres interprétations. Ça revient finalement à du simple commérage basé sur la dépréciation en bloc des «autres».<br /><br />La philosophie «occidentale» aime rechercher LA vérité qui a raison et exclut toute vérité différente. On a raison ou on a tort. On choisit entre toutes les solutions possibles la seule qui sera la vraie bonne solution et on se ferme aux autres. On définit le seul objectif plus important que tous les autres.<br /><br />La philosophie «orientale» cherche plutôt la sagesse qui permet de concilier plusieurs approches qui ont l'air de s'exclure. Entre toutes les solutions possibles, on en élabore une nouvelle qui est le compromis préservant le plus possible des différentes approches.<br /><br />Chacun a en soi un peu de philosophie occidentale et un peu de philosophie orientale, heureusement. En y mettant une bonne portion de respect mutuel et d'écoute, et en renonçant aux faire-valoirs de toute sorte, je crois qu'on découvrirait que tous voient en gros la même chose sous les angles différents de leur position, avec les filtres différents de leurs préjugés (rien de péjoratif là-dedans, sans préjugés nous serions tous morts, c'est une fonction vitale). Il n'est pas utile de vouloir «gagner» une discussion. Il n'y a rien à gagner dans une discussion, sauf quelques nouvelles impulsions à la réflexion et peut-être une meilleure compréhension des raisonnements d'autres personnes.tsangehttps://www.blogger.com/profile/14727196637630669158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-6587024705014272552013-09-29T09:23:17.864+02:002013-09-29T09:23:17.864+02:00Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.tsangehttps://www.blogger.com/profile/14727196637630669158noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-82050431509324818082013-09-28T23:17:09.173+02:002013-09-28T23:17:09.173+02:00@ dr Bill
Que les MG aient des comportements panur...@ dr Bill<br />Que les MG aient des comportements panurgiques, OK.<br />Que les Médecins en général aient des comportements panurgiques (corporatistes ?), OK.<br />Mais comme tout le monde.<br />Ce n'était pas une critique contre les addictologues : j'exprimais mon impression.<br />Si vous pensez que les addictologue ont de bons résultats, c'est que quelque chose m'a échappé.<br />j'avoue.<br />Bonne soirée.JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-33558191741883939832013-09-28T21:52:01.465+02:002013-09-28T21:52:01.465+02:00@ CMT
Nous sommes entièrement d'accord sur le ...@ CMT<br />Nous sommes entièrement d'accord sur le fait que le médecin ne doit pas être un porte-drapeau, et je n'approuve pas le papier de DD sur la promotion de la e-cigarette, car comme JCG l'a très justement dit, cette position (dont on ne pourra connaitre l'issue que dans un avenir lointain) met le doute sur l'ensemble de ses papiers, alors qu'il me semble que certains semblent d'excellente qualité.<br />Après, le "idiots" employé était une façon de dire que bien que connaissant tous les risques, je fais partie de ceux qui fument encore "en toute connaissance de conséquence", si l'on peut dire.<br />Je clos cet écart sur la e-cigarette qui a son propre billet dédié sur ce blog, et laisse continuer les débats sur la médecine générale.<br />Au plaisir de vous lire.Charlottenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-17801130500723606612013-09-28T13:04:49.945+02:002013-09-28T13:04:49.945+02:00@ Docteur 16 et CMT.
L'addictologie et les ad...@ Docteur 16 et CMT.<br /><br />L'addictologie et les addictologues font l'objet d'idées reçues. Vos commentaires en témoignent.<br />Le peu de succès des soins addictologiques n'est qu'apparent. Il faut comprendre qu'il s'agit pour le plus grand nombre de pathologies chroniques avec des hauts et des bas. Le travail de l'addictologue est un accompagnement adapté à chaque personne sur le long terme.<br />En échangeant avec des soignants qui ne connaissent pas l'addictologie, je me suis rendu compte que certains pensaient que le soin addictologique était nécessairement contraignant pour des malades non compliants.<br />Il n'en est rien. Les malades comme, pour d'autres pathologies chroniques, nécessitant des modifications de comportement, ont des difficultés pour s'adapter. La particularité principale est le regard commun péjoratif posé sur ces pathologies. Les malades eux mêmes ont ce regard dévalorisant. S'il vous semble qu'ils ont des comportements communautaires "panurgiques", mon expérience en particuliers des alcoolo dépendants me montre surtout que ces personnes souffrent de solitude.<br />Comme en médecine générale, et comme en médecine en général, l'addictologue doit tenir compte des représentations du patient, de ses croyances etc...<br />Quand aux addictologues, leur attitude n'est pas plus "panurgique" que les autres professionnels de la santé, y compris les généralistes.<br /><br />Bien à vous.dr Billnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-81979282584681119542013-09-28T00:48:46.487+02:002013-09-28T00:48:46.487+02:00A Dr Bill,
Sur quoi je m'appuie? Sûrement pas ...A Dr Bill,<br />Sur quoi je m'appuie? Sûrement pas sur mon expérience en tant qu'addictologue. Sur une somme d'expériences personnelles, de lectures, de formations et sur l'entrecroisement de tout cela.<br /><br />Je ne dis pas que c'est vrai pour chaque fumeur. Je crois qu'il y a autant de types et degrés d'addiction que de fumeurs.<br /><br />Mais quand j'observe les idées force du discours des vapoteurs, leurs réactions, leur soif d'absolu, cela m'évoque terriblement cet univers là.<br />Ce qui ne veut pas dire que dans d'autres domaines les mêmes personnes n' auront pas un comportement tout à fait adulte.<br /><br />Et les ados je connais un peu mieux.Avec leurs demandes paradoxales. Quand on veut qu'ils aillent voir un psy parce qu'ils vont mal ils préfèrent qu'en tant que professionnel non formé au suivi d'ados en souffrance on soit leur ami. Une manière de toujours échapper au cadre et de toujours le mettre en échec.Et d'aboutir à coup sûr à l'échec du suivi, si on rentre dans leur jeu.<br /><br />Mais effectivement il s'agit très probablement d'une frange très limitée des fumeurs.CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-23587401097177392782013-09-28T00:23:10.271+02:002013-09-28T00:23:10.271+02:00A Charlotte,
Il ne s'agit pas d'être idiot...A Charlotte,<br />Il ne s'agit pas d'être idiot. J'ai des proches qui fument. J'estime que c'est une question très personnelle, tant que la loi autorise le tabagisme (un héritage historique, un accident et non le fruit d'une volonté des Etats mais plutôt d'une absence de volonté).<br />Pour les femmes, et parfois aussi pour les hommes, les enfants sont une puissante motivation.Ou les difficultés financières.<br /><br />JCG a résisté jusqu'ici, et, j'espère pour toujours, à la tentation de se transformer en "produit". Les tentations de ce type sont souvent fortes (autant que l'envie de fumer pour un fumeur).<br /><br />Je crois qu'on n'est plus crédible en tant que médecin quand on se prend pour un produit ou qu'on se mêle d'en promouvoir.<br />Ce n'est pas le rôle d'un médecin.Le médecin n'est pas un porte-drapeau. Sinon le médecin "sait" ce qui est le mieux. Et alors où est le choix du patient?<br /><br />En revanche on peut réfléchir et raisonner sur tout.<br />Mais pas avec tout le monde.<br />AmicalementCMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-80776752268755462922013-09-27T23:06:54.533+02:002013-09-27T23:06:54.533+02:00@ CMT
:-D
Je ne pensais pas à l'épisode e-ciga...@ CMT<br />:-D<br />Je ne pensais pas à l'épisode e-cigarette, qui il est vrai, a suscité un débat fort intéressant dans lequel je refuse de rentrer... (je fume une cigarette, une vraie qui donne mauvaise haleine, assèche la bouche, encrasse les poumons et réduit ma durée de vie et celle de mon entourage, pendant que je réponds , car je fais partie de ces "idiots" qui ne savent pas s'arrêter, mais je ne suis pas tentée par la e-cigarette, car j'estime qu'il devrait y avoir des tests avant mise sur le marché, et qu'en plus, j'ai trouvé ça infecte quand on m'a fait gouter. Je nefais pas de chantage à mon MG, je lui dit que je fume et c'est tout. Il n'a jamais fumé, donc je considère qu'il ne peut pas m'aider, donc je ne lui demande rien, je me débrouille, mal, et je fume encore, pour le moment, espérant une prise de conscience suffisante pour arrêter. J'arrêterai nécessairement un jour, au pire, celui de ma mort ;-)<br /><br />Je pense que dans notre société, où seul ce qui a été validé "scientifiquement" est considéré comme valable, nous nous privons de pistes, d'éléments de compréhension qui ne sont étayés que par des ressentis pas forcément pris en compte. Je pense que l'Homme est un animal, et que par les codes en vigueur, nous nous bridons, d'une certaine façon, car nous sommes conditionnés à ne réfléchir que selon un seul schéma, et cela, depuis l'école... C'était l'idée... et je ne partage pas toutes celles de DD, car je ne crois pas en la sagesse collective, si c'était le cas, elle aurait déjà fait ses preuves. Il faut un mix de tout ça, pour garder l'esprit ouvert et ne rien rejeter par défaut, mais rester vigilent sur les moyens mis en oeuvre et outils utilisés ;-)<br />J'aime la philosophie de JCG, ses approches, sa rigueur, et pour le moment, il ne semble pas succomber à la soif de reconnaissance et/ou de notoriété comme certains sur le net, de même, il ne fait pas semblant d'étaler ses erreurs ou ses doutes pour prouver à quel point il est un bon médecin qui se remet en cause...<br />AmicalementCharlottenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-68115097473560648752013-09-27T23:06:33.493+02:002013-09-27T23:06:33.493+02:00@ dr Bill
Mon expérience de l'addictologie est...@ dr Bill<br />Mon expérience de l'addictologie est faible en tant que médecin (en tant que citoyen je me suis arrêté de fumer en 1979 puis en 2004, je crois...)<br />J'adresse des patients en addictologie et je suis frappé d'une part du faible taux de réussite et d'autre part des conduites stéréotypées des addicts et des addictologues. <br />Ce dernier point me fascine. <br />Et je ne m'étonne pas de la "résistance" au baclofène et à la e-cig de la part des soignants, non parce que cette résistance serait liée à une éventuelle efficacité des deux procédés (après tout, je l'ai écrit, je serais tellement content que cela "marche" -- mais je n'y "crois" pas) qui les condamnerait au chômage technique, mais parce que cela change leurs habitudes.<br />Il existe un panurgisme des addicts (faire partie de la communauté des addicts avec les images positives communautaires mais surtout, comme vous le dites, négatives concernant l'estime de soi) et un panurgisme des addictologues (que j'estime en première hypothèse idéologique).<br />Bonne soirée à tous.JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-63251418886570756082013-09-27T21:46:00.189+02:002013-09-27T21:46:00.189+02:00@ CMT.
Permettez moi de réagir à vos propos sur l...@ CMT.<br /><br />Permettez moi de réagir à vos propos sur les personnes souffrant de pathologie addictive dont vous dites " [ils] veulent toujours, comme les ados, tester les limites et faire sortir leur interlocuteur du cadre".<br />A quoi faites vous référence pour affirmer cette idée?<br />Pour ma part je n'ai pas cette expérience. Parmi les patients dépendants des produits il y a des ados, mais pas que...<br />Les adultes réagissent comme tels.<br />Je craint que les idées reçues et le regard porté sur ces patients conditionnent leur comportement ainsi que leur capacité à mobiliser leurs ressources pour faire évoluer leur comportement.<br />Pour en revenir au sujet des relations patient médecin, ce qui se passe dans une consultation d'addictologie me semble être le paradigme de la démarche EBM ou tous les facteurs sont exacerbés, y compris les représentations négatives du patients lui même sur ce qui lui arrive.<br /><br />Bien à vous.Dr Billnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-31482796257656736242013-09-27T17:20:44.673+02:002013-09-27T17:20:44.673+02:00A Charlotte,
Comment dire? Les vapoteurs font ce q...A Charlotte,<br />Comment dire? Les vapoteurs font ce qu'ils veulent, dans la mesure où ils sont adultes et en pleine possession de leurs moyens. Mais ils ne peuvent pas demander aux médecins de donner la bénédiction à la e-cigarette sous prétexte qu'ils y croient et de la valider comme moyen de sevrage tabagique en l'absence d'études scientfiques. Qui plus est se livrer à une sorte de chantage (si vous n'êtes pas d'accord je me remets à fumer, ce qui, soit dit en passant, est assez typique de personnes addictes qui veulent toujours, comme les ados, tester les limites et faire sortir leur interlocuteur du cadre) pour arriver à ce résultat.<br /><br />Pour le dossier partagé, je confirme, c'est un danger, y compris (et surtout peut-être) dans le service public.<br /><br />Pour les références, je plaisantais...CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-36775325380482344492013-09-27T14:51:23.523+02:002013-09-27T14:51:23.523+02:00@ CMT
Concernant les maisons pluridisciplinaires, ...@ CMT<br />Concernant les maisons pluridisciplinaires, il n'y a pas de notion de dossier partagé évoquée, je confirme. Cela relève de la crainte. La mutualisation des moyens pourrait tout à fait un jour glisser sur la notion de dossier partagé, vendu par exemple comme un gage de performance du suivi, puisque toutes les données seraient regroupées dans un même dossier, cela permettrait d'éviter des examens en doublons, de gagner du temps... <br />La rémunération du MG est bien en train de glisser vers celle d'un vendeur, avec prime sur réalisation d'objectifs... alors, plus rien ne m'étonnerait vraiment, je crois.<br /><br />Quant aux références, je n'en ai pas (j'ai d'ailleurs préciser en début de commentaire "témoignage") et même si j'en avais, je ne les citerais pas, car à ne vouloir prendre que ce qui est "normé" on en oubli l'essentiel, l'humain, l'intuitif, et parfois même le bon sens. Combien d'études dont nous aurions besoin ne sont pas faites ? Combien d'études mal faites sont exposées comme étant le modèle ?<br />Les études sont certes utiles, mais, même si je ne partage pas l'approche de DD en partie sur la médecine 2.0, je dois avouer que je trouve intéressante l'écoute qu'il a envers les témoignages et ce qui peut en ressortir, car je pense que cela peut, en fonction de l'itération, permettre de voir émerger de nouvelles pistes (qui pourront alors être validées dans le cadre d'études ;-)<br />Cdlt<br /><br /><br /><br />Charlottenoreply@blogger.com