tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post1929941459921405373..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: Rencontres Prescrire 2014JC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger17125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-67375722053963287252020-08-08T11:00:31.477+02:002020-08-08T11:00:31.477+02:00Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.Sherihttps://www.blogger.com/profile/10604241315760158844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-30361378535109963212014-06-09T19:31:13.374+02:002014-06-09T19:31:13.374+02:00j'avais commis un long commentaire sur ce post...j'avais commis un long commentaire sur ce post, sur l'instinct grégaire en général, (Prescririens de tous pays unissez-vous !!!) puis sur les limites floues très floues des conflits d'intérêt, mais c'était devenu boursoufflé et incompréhensible même par moi;finalement je me contenterai de cette vieille assertion d'une chanson de Léo Férré qui me faisait bander quand j'étais jeune :" les gens qui pensent en rond ont les idées courbes"....et le cercle est vicieuxPopper31noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-74255082429247739812014-05-31T16:42:43.653+02:002014-05-31T16:42:43.653+02:00SUITE On peut penser que les VM utilisent les même...SUITE On peut penser que les VM utilisent les mêmes techniques que celles qui sont utilisées par la publicité : générer artificiellement des associations positives, le message positif pour un médicament sera associé à un moment convivial et agréable. On sait que la force de ce type d’approche est de passer sous le radar de la conscience.<br />Le problème demeure, qu’on l’accepte ou non, qu’ on a reçu une information connotée positivement, ce qui signifie que pour la contrebalancer il faudra passer des heures à faire des recherches personnelles pour extraire des études non biaisées sur le sujet. Est-ce que quelqu’un qui a accepté d’aller au resto pour qu’on lui parle du médicament X va faire l’effort de faire cette démarche ? J’en doute. C’est pourquoi, quand un médecin accepte une invitation au resto, le VM sait que la partie est gagnée.<br />On voit que les résidents, de plus en plus courtisés par les VM, sont aussi de plus en plus mal à l’aise sur la transparence des liens d’intérêt. Je crois que c’est le point de bascule, celui où les mécanismes de réduction de dissonance cognitive et d’auto-justification se mettent en place.<br />Concernant la loi sur le médicament et les politiques de transparence, on sait ce qu’il en est advenu : elles ont été vidées de leur substance par une action concertée des autorités et des laboratoires pharmaceutiques <a href="%E2%80%9D" rel="nofollow"> http://www.formindep.org/Le-ministere-de-la-sante-organise.html </a>.<br />Il ne faut pas sous estimer la difficulté à combattre les liens d’intérêts. Le combat entre patients et VM est inégal. D’un côté des VM élégants, parfumés, souriants, disponibles, compréhensifs, à l’écoute, fiables, qui arrivent les mains chargés de cadeaux et d’études bidons agréablement présentées sur du papier brillant, toutes en couleurs. De l’autre des patients ronchons, exigeants, infidèles, plaintifs, peu fiables (qui posent des lapins ou ne prennent pas leurs médicaments) etc. Les associations positives et négatives sont vite faites.<br />Ce qui est intéressant aussi, dans cette étude, c’est que ce sont des médecins hospitaliers qui l’ ont imaginé, conçu et menée à bien. Or, on sait à quel point l’hôpital est à la fois en train de voir sa destinée de plus en plus liée aux stratégies marketing des laboratoires et est en train de devenir le centre de gravité des politiques et des coûts de santé.<br />Bravo. Belle étude.<br /><br /><br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-25817680454805356042014-05-31T16:40:00.327+02:002014-05-31T16:40:00.327+02:00A Pierre Frouard,
Je pensais que le lien était act...A Pierre Frouard,<br />Je pensais que le lien était actif. Je suis un peu perdue avec ces balises HTML. Jean-Claude a essayé vaguement de me former mais le succès est mitigé parce que parfois ça marche, parfois ça ne marche pas, et je ne comprends pas toujours pourquoi.<br />Un compte rendu de cette étude sur les conflits d’intérêts des étudiants en médecine a été d’abord publié dans le » quotidien du médecin » ces jours-ci. Mais, un petit conseil à la cantonnade, si une étude vous intéresse allez voir l’étude et ne vous arrêtez pas au compte-rendu, toujours très incomplet et éventuellement tendancieux.<br />Je refais un essai pour mettre le lien <br /><a href="%E2%80%9D" rel="nofollow"> http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0092858#pone.0092858-Shnier1 </a>.<br />Plusieurs aspects intéressants dans cette étude. Outre le fait qu’elle est nationale et porte sur 2000 étudiants en médecine de tous niveaux de la première année jusqu’aux résidents<br />• Les étudiants en médecine identifient majoritairement mal (pour les deux tiers environ) les situations de conflits d’intérêts où il y a des transferts d’argent indirect (petits cadeaux, avoir un proche travaillant pour Big Pharma, participer ou être invité au restaurant, à une formation, à une conférence organisée par Big Pharma), et identifient un peu mieux les situations de conflits d’intérêts où il y a une transfert direct d’argent, pour 60 à 90% environ selon les situations ou le niveau d’études (émoluments pour des recherches, des conférences, bourses ou perception de salaires ou posséder des actions dans l’industrie pharmaceutique)<br />• Seulement un étudiant sur dix ayant répondu a effectué des recherches personnelles concernant les conflits d’intérêts et moins de un sur vingt a assisté à des conférences sur le sujet. Ceux qui ont fait des recherches personnelles identifient mieux certains conflits d’intérêts<br />• La capacité à identifier les conflits d’intérêts ne s’améliore pas, globalement, au cours des études, mais, les résidents, qui sont très nettement exposés, en tant que prescripteurs, à recevoir des cadeaux, sont les moins favorables à la transparence sur ces liens d’intérêts<br />On peut faire l’hypothèse que la capacité à reconnaître les conflits d’intérêts est déterminée, en l’état actuel, d’abord par des facteurs éducatifs et familiaux, qui déterminent, notamment la capacité d’avoir un regard critique sur ces pratiques.<br />On peut se dire que les autorités, l’Etat, adresse un message qui ressemble à une injonction paradoxale, et on sait que les injonctions paradoxales sont de nature à paralyser la capacité à penser : d’une part on laisse entendre que les liens d’intérêt peuvent avoir une influence néfaste, d’autre part on met tout en place pour que les conflits d’intérêts deviennent structurellement consubstantiels au système de santé et on les banalise, en particulier à l’hôpital.<br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-11459187985534448962014-05-31T14:14:54.110+02:002014-05-31T14:14:54.110+02:00Bonjour,
à propos des statines, à propos de la pr...Bonjour,<br /><br />à propos des statines, à propos de la prévention secondaire, j'ai bien aimé la phrase de Uffe Ravnskov du thincs.org que vous pourrez trouver dans cette interview : http://peter-one-instant.blogspot.fr/2009/11/is-high-cholesterol-cause-of-heart.html<br /><br />Je cite :<br />"If statins can be helpful in reducing the incidence of heart attacks, who should take them?<br /><br />In my view nobody. When I was practicing I used to describe the benefit in this way: Considering your age and your previous heart attack your chance to be alive in five years is about 90%. You can increase that chance to 92% if you take a statin pill every day, but then you may also expose yourself to its many adverse effects."<br /><br />Bon je vous accorde que ça reste un peu partisan ;)nfkbhttp://www.nfkb0.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-25735044260719400522014-05-31T10:25:14.310+02:002014-05-31T10:25:14.310+02:00@ CMT
Je suis allé faire un tour rapide sur un doc...@ CMT<br />Je suis allé faire un tour rapide sur un document de la HAS traitant des liens et conflits d'intérêts. C'est effectivement très complexe.<br /><br />En fait ils considèrent d'abord les liens d'intérêts et ce sont ces liens qui doivent être déclarés pour être ensuite appréciés afin de décider s'ils peuvent ou non générer un conflit d'intérêt :<br /><br />"Selon la définition de la charte de l’expertise : « Un conflit d’intérêts naît d’une situation dans laquelle les liens d’intérêts d’une personne sont susceptibles, par leur nature ou leur intensité, de mettre en cause son impartialité ou son indépendance dans ’exercice de sa mission qui lui est confiée au regard du dossier à traiter ». <br /> <br />"L’intensité du lien doit donc être analysée, avant d’apprécier son impact au regard de la mission <br />exercée."<br />"L’intérêt peut résider dans un avantage, ou une absence de désavantage, pour soi ou dans un <br />avantage ou un désavantage pour autrui, dans une situation d’inimitié ou de concurrence. <br />L’intérêt peut être matériel ou moral.L’intérêt peut être direct ou par personne interposée. L’intérêt peut être actuel, ancien, voire futur."<br /><br />C'est pas simple ! Si peu simple que je doute que tous ces aspects du lien d'intérêt puissent réellement envisagés en pratique.<br /><br />http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/guide_dpi.pdf <br /> BGnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-71316404359498755732014-05-30T22:39:21.200+02:002014-05-30T22:39:21.200+02:00@CMT : en fait il fonctionne par copier/coller. Il...@CMT : en fait il fonctionne par copier/coller. Il y a juste un espace de trop à la finDr Pierre Frouardnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-64032139730947241812014-05-30T22:37:48.965+02:002014-05-30T22:37:48.965+02:00@CMT :le lien est corrompu. Dommage!
@CMT :le lien est corrompu. Dommage!<br />Dr Pierre Frouardnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-29878546398232698732014-05-30T22:16:12.620+02:002014-05-30T22:16:12.620+02:00A BG,
Je plaisantais, bien sûr.
Néanmoins votre dé...A BG,<br />Je plaisantais, bien sûr.<br />Néanmoins votre définition des conflits d’intérêts est un peu déficiente. En fait, la définition des conflits d’intérêts est tellement compliquée que l’on s’y casse facilement les dents. La définition utilisée pour expliquer ce qui doit être déclaré comme conflits d’intérêts est : « Un conflit d’intérêts existe donc lorsque le jugement, les décisions ou les interventions d<br />’un professionnel sur un <br />sujet d’intérêt principal risquent d’être modifiés par un intérêt secondaire. »<br /><br />Le problème avec les conflits d’intérêts c’est qu’ils sont multiformes. Ils peuvent être fortuits (comme quand on a un parent ou un ami dont les opinions, le travail, peuvent influencer notre attitude au sujet d’un intérêt principal) ou générés intentionnellement (comme c’est le cas avec les conflits d’intérêts que génèrent les VM en invitant les étudiants ou médecins au restaurant ou en leur offrant des cadeaux). Ils peuvent être matériels, intellectuels ou de nature affective . Leur existence peut être objectivée mais l’existence des conflits d’intérêts représente un risque.<br /> Les effets du risque (jugement biaisé) sont d’autant plus difficiles à mettre en évidence qu’il y a nécessairement déni, de la part de ceux qui ont des conflits d’intérêts et de la part de ceux qui les ont générés, quand c’est intentionnel. <br />Marc Rodwin met l’accent sur la question de la loyauté. Il dit qu’il y a conflit d’intérêt pour un médecin, lorsqu’il se trouve dans une situation où sa loyauté est partagée entre le malade et une autre partie. Le terme « loyauté » me paraît particulièrement adapté pour décrire ce qui se passe quand il y a conflit d’intérêt.<br /><br />En fait, le problème me semble venir du fait que les conflits d’intérêt sont le mode de fonctionnement courant de tout un chacun dans la vie de tous les jours. Comme on dit : chacun voit midi à sa porte.<br />Les firmes pharmaceutiques ne font qu’utiliser à dessein quelque chose qui existe déjà, qui nous est naturel et qui est un mode de fonctionnement instinctif. Notre loyauté va à celui qui nous rend service, qui se montre prévenant, qui nous offre des cadeaux. C’est la réciprocité.<br />Se défendre contre les conflits d’intérêts nécessite donc de mettre en place un comportement contre-intuitif, et c’est pour ça que c’est compliqué .<br />Le problème des conflits d’intérêts des médecins ce sont les conséquences pour les patients.<br />A MG,<br />C’est un peu ce que j’avais en tête et je trouve qu’on y va. Lentement mais sûrement.<br /><br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-58024497681687225542014-05-29T23:04:00.283+02:002014-05-29T23:04:00.283+02:00A CMT
En lisant la fin de ton commentaire , je n&...A CMT<br /><br />En lisant la fin de ton commentaire , je n'ai pas pu m'empêcher de penser au lire " Le meilleur des mondes" .<br />Huxley était un visionnaire Dr MGnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-85886844064766507832014-05-29T21:55:56.901+02:002014-05-29T21:55:56.901+02:00@ CMT
"Problème : tu t’es généré plein de con...@ CMT<br />"Problème : tu t’es généré plein de conflits d’intérêts avec des personnes que tu vas avoir du mal à critiquer désormais."<br /><br />L'expression "conflits d'intérêts" a un sens relativement précis : ils sont explicitement associés à des avantages financiers, ou au moins matériels. Utiliser cette notion dans d'autres sens c'est risqué d'en atténuer la portée car, à ce train là nous avons tous des conflits d'intérêts qui peuvent être nos préférences intellectuelles, nos sympathies et antipathies etc<br /><br />Puisque en ce sens nous aurions tous des conflits d'intérêts, nous banalisons le terme et ceux qui touchent beaucoup d'argent pour que leur expertise ou leurs propos publiques soient orientées pourront dormir tranquilles.BGnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-49194422741552846072014-05-29T20:26:01.195+02:002014-05-29T20:26:01.195+02:00Ca avait l’air sympa et tu sembles avoir passé un ...Ca avait l’air sympa et tu sembles avoir passé un bon moment. Tu caches mal ton enthousiasme. Problème : tu t’es généré plein de conflits d’intérêts avec des personnes que tu vas avoir du mal à critiquer désormais.<br />L’angle adopté pendant ces rencontres prend ses distances avec l’approche classique et instinctive du médecin moyen dont la question la plus fréquente est : « qu’est-ce que je fais maintenant ou qu’est-ce que je dois faire dans tel cas ? ». Les médecins sont formés comme ça, pour être des gens pratiques qui sont toujours dans l’action et qui veulent « faire » quelque chose.<br />Mais c’est un mode de fonctionnement dangereux qui risque vite de réduire le médecin au statut d’exécutant d’une médecine conçue par d’autres. Il y a plein de gens qui sont très désireux d’expliquer aux médecins ce qu’ils doivent faire maintenant. Et, même s’il y avait là, à cette rencontre Prescrire, une brochette de jeunes médecins pensants, ils ne constituent pas encore la majorité parmi les étudiants. On peut même dire qu’il y a une grande banalisation des conflits d’intérêts omniprésents dans les études de médecine comme le montre cette étude récente, la première du genre faite en France <a href="%E2%80%9D" rel="nofollow"> http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0092858#s3 </a>. Seulement un tiers des étudiants interrogés environ, de la première année au résidanat, pensent que recevoir un cadeau des VM, être invités par eux au restaurant, participer à une formation financée par Bip Pharma, ou avoir un proche travaillant pour Big Pharma constitue un conflit d’intérêt.<br />On retrouve la classique discordance entre les déclarations et la pratique, les étudiants ayant plus de mal à reconnaître qu’il y a conflit d’intérêts quand cela s’applique à eux-mêmes et à leur propre comportement que en théorie.<br />En ce qui concerne les patients, je trouve qu’il y a un côté bien pensant et politiquement correct à vouloir promouvoir l’expertise scientifique des patients. La première expertise à promouvoir chez les patients c’est l’expertise par rapport à eux-mêmes. C'est-à-dire l’apprentissage de la réflexion concernant leur propre santé et la capacité à se comporter en sujets autonomes et non en pantins téléguidés. Parce que le pendant du médecin exécutant qui demande : « qu’est-ce que je dois faire maintenant ? « est le patient consommateur qui veut tout tout de suite. Et il y a là aussi plein de gens (les mêmes en fait, que pour le médecin) qui sont prêts à lui donner ce qu’il demande (à le lui faire croire tout au moins), mais à condition qu’il laisse au vestiaire sa capacité de réflexion autonome et qu’il ait confiance en la « science ». La « science » a besoin d’individus-objets, aux comportements prévisibles et identiques.<br />Car, paradoxalement, dans cette société où l’individualisme est roi et où le client roi, hédoniste, consommateur, qui sait ce qu’il veut et qui l’ exige est porté au pinacle, encensé et courtisé, l’individu pensant, celui qui refuse la chimio, celui qui ne veut pas être fliqué par le modem installé sur son appareil de ventilation, celui qui ne veut pas du vaccin contre le papillomavirus ou contre l’hépatite B est, d’office, considéré comme suspect.<br />La bonne question pour moi, celle que je me pose le plus souvent, même si c’est fatigant et que ça prend beaucoup de temps est : »pourquoi je devrais faire ça maintenant ? »<br /><br />CMTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-59779403249302139602014-05-28T22:00:10.980+02:002014-05-28T22:00:10.980+02:00Ton dernier souhait tient du vœux pieux ...Ton dernier souhait tient du vœux pieux ...Loubet dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-74629555543388636242014-05-27T13:06:25.056+02:002014-05-27T13:06:25.056+02:00Eh bien on a des points communs. C'est vrai qu...Eh bien on a des points communs. C'est vrai que lorsqu'on a exercé pendant quelques dizaines d'années et qu'on a pas mal lu de choses diverses, au cours des rencontres Prescrire, on n'apprend pas vraiment grand chose. Et que lorsqu'on assiste à des discours ou des exercices sur des sujets qu'on connait bien, on est forcément critique... Mais on n'est pas forcément là pour ça. Moi j'y vais surtout pour rencontrer des gens. Des gens que je connais virtuellement, ou des gens que je ne connais pas du tout. Et je ne suis jamais déçu. Là j'ai eu le plaisir de te rencontrer, par exemple. Et aussi, en tant que rédacteur Prescrire, c'est toujours intéressant d'écouter ce que disent des lecteurs a propos du contenu et de la forme de la revue. Voilà. En somme, les "rencontres Prescrire", ce sont surtout des rencontres... Amicalement. Jean Doubovetzky<br />Jean Doubovetzkyhttps://www.blogger.com/profile/13917557753992583197noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-11524078929550607852014-05-27T12:12:46.011+02:002014-05-27T12:12:46.011+02:00@ Mauboussin.
Pas de tags sage-femme pour deux rai...@ Mauboussin.<br />Pas de tags sage-femme pour deux raisons : 1) j'ai très peu de contacts avec elles bien que je leur adresse beaucoup de patientes pour le suivi des grossesses (mais dans le service de gynobs de mantes les courriers sont rarissimes et n'informent que sur Apgar et poids de naissance ; 2) Je ne voulais pas trop me mouiller et, avant de parler, je voulais m'assurer que leurs prescriptions de pilules avant la fameuse crise n'étaient pas aussi cata que ce que j'avais cru.<br />Bonne journée.JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-46685793091324108192014-05-27T11:10:19.188+02:002014-05-27T11:10:19.188+02:00Salut.
Tu écris :"On reproche aux deux premie...Salut.<br />Tu écris :"On reproche aux deux premiers de ne pas avoir cité les sages-femmes dans le suivi de la femme enceinte, un oubli sans doute significatif dans ce monde d'hommes médecins".<br /><br />Mais dans ta liste de "mots-clefs" ou "tags", il n'y a pas "sage-femme".<br /><br />Il y a pourtant un enjeu majeur : elles visent clairement à terme la place laissée vide par les "gynécomed".<br />Or ,ces vilaines gynécomeds étaient dénigrées par les MG; alors que "les gentilles SF" ne le sont pas du tout : les mg, sans doute progressistes par nature, ne voudraient surtout pas passer pour des réacs défendant leurs privilèges...<br /><br />Mauboussnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-287319621095748432014-05-27T09:47:19.789+02:002014-05-27T09:47:19.789+02:00j'ai participé aussi à l'atelier québécois...j'ai participé aussi à l'atelier québécois, avec la même critique : quelle pertinence à la décision partagée quand la balance bénéfices-risques du dépistage est nettement défavorable ?? Mais on m'a répondu que puisque le test PSA était commercialisé, c'était le devoir du médecin de consacrer 30 minutes par homme de plus de 50 ans à en causer. Bon, sûrement que ça aurait été plus pertinent pour Hémoccult°, où là au moins il y a un soupçon de preuve que c'est efficace sur la mortalité spécifique (mais seulement dans les essais, c'est une autre histoire).<br />Au total : des grands concepts pour de l'enfume.<br />amitiés<br />PierreDr Pierre Frouardnoreply@blogger.com