tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post1974653810572010594..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: Histoire de non consultation 173.JC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger9125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-70258602488405150942014-08-08T10:48:08.637+02:002014-08-08T10:48:08.637+02:00Le billet et ses commentaires (Dr Delepine citée e...Le billet et ses commentaires (Dr Delepine citée en exemple...): salmigondis d'approximation qui au final dessert vos idéesAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-73614042197726781042014-07-10T19:54:52.043+02:002014-07-10T19:54:52.043+02:00@Pr mangemanche.
J'ai posé à dessein cette que...@Pr mangemanche.<br />J'ai posé à dessein cette question car la patiente qui n'est pas revenue au cabinet a dû envisager la palpation comme un acte sexuel. Elle l'a envisagé car son médecin ne le faisait pas. Je ne lui ai pas donné à l'époque l'explication du pourquoi je le faisais et pourquoi il ne l'a pas fait et elle a pu penser que je le faisais pour d'autres raisons que médicales.<br />Il ne faut pas se cacher derrière les bonnes manières, la sexualité et la pudeur, sont dans les cabinets, il suffit de lire les CR du CNO sur les plaintes des patientes et des patients à l'égard des médecins. Rappelons pr mangemanche qu'aux US il est impossible à un médecin homme de palper les seins d'une de ses patientes hors la présence d'un chaperon.<br />Mais vous avez raison : la palpation des seins est un acte technique mais comme tout acte technique, et a fortiori quand signifiant et signifié peuvent s'entrechoquer, il doit être expliqué et commenté.<br />Les problèmes que je rencontre avec les examens gynécologiques dans mon coin en sont exemplaires.<br />Bonne journée ... à Pékin.<br />JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-79710277379987478452014-07-10T14:09:04.365+02:002014-07-10T14:09:04.365+02:00=>" Ignorais-je (la réponse est non) que p...=>" Ignorais-je (la réponse est non) que palper des seins est aussi un acte sexuel ? "<br /><br />Voilà une formulation bien gênante...<br />La palpation est un acte médical, ce n'est pas une caresse, ni une stimulation. C'est un geste technique. <br />Que ce geste concerne une région ou un organe chargé émotionnellement ou symboliquement n'est pas contestable.<br />Qu'il doive s'accompagner d'un respect supplémentaire de pudeur et d'explications à cet égard non plus.<br /><br /><br />Mais, selon moi, ce n'est pas "aussi un acte sexuel".<br />Il me paraît important justement d'éviter cette confusion.<br />pr mangemanchehttp://quadrature.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-50816467499684059452014-07-10T12:46:33.475+02:002014-07-10T12:46:33.475+02:00Le cas du Dc Nicole Delepine m'a convaincu de ...Le cas du Dc Nicole Delepine m'a convaincu de ce qui se joue actuellemet sur le terrain du traitement u cancer en France. Et merci à Docteurdu16 qui m'a permis de découvrir Peter Gotzsche ! <br />Nous devons dénoncer l'arrogance médicale et financière auprès de nos élus qui n'ont pas à se mettre à genou devant les intérêts d'une poignée de leaders totalitaires; Il en va de nos libertés, de nos vies et de nos morts, de nos démocraties, qui sont déjà bien mises à mal, car doucereusement , nous dérivons, dérivons, et la prophétie orwellienne pourrait se dessiner si nous n'y prenons pas garde. <br />Docteurdu 16 est un blog excellent, la plume est un régal et on y apprend plein de choses, pour une non médecin mais néammoins docteur en toxicologie et férue d'histoire et d'épistémologie (le menu fretin de la science universitaire , qui ne pèse rien au regard de la grandeur de la médecine française). <br />Le post de mai dernier "Rencontre Prescire 2014" est un bijou , qui m'a fais vraiment rire , car , fréquentant aussi les colloques et autres rencontres , je ne peux que m'y retrouver, cela me fait penser à l 'humour très british de David Lodge dans "un tout petit monde". <br />Mais cela ne suffit pas. <br />Seuls ceux qui ne risquent pas trop gros pour leur carrière peuvent vraiment s'engager, ou alors, c'est qu'ils n'ont plus rien à perdre (Nicole Delepine) ou qu'ils ont une sorte de "foi" chevillée au corps '(G.E.Seralini). <br />Il y a suffisamment d'arguments scientifiques pour dénoncer les dérives de ces pratiques (merci au docteurdu16 pour sa revue et ses réferences biblio; merci à formindep) mais il faudrait toucher les medias, et adresser des courriers ou pétitions à nos députés, réussir à créer un mouvement de citoyens capables d'aller parler aux députés et aux sénateurs pour faire entendre une autre voix que celle des leaders d'opinions , non?ANNETTE LEXAnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-62786346817952748612014-07-10T07:01:21.479+02:002014-07-10T07:01:21.479+02:00Bonjour, je comprends Annette Lexa et la propositi...Bonjour, je comprends Annette Lexa et la proposition de retourner l'argument émotif...et d'un point de vue individuel j'ai utilisé par facilité cette technique! Mais finalement cette technique que nous critiquons d'utilisation de l'émotion n'est pas la bonne à mon sens car d'abord c'est une "technique", c'est une recherche de comment "communiquer" un message grâce à l'artifice de l'émotion. Je pense sincèrement qu'il faut sortir du "comment dire" pour se focaliser sur ce que l'on dit. Et proposer non pas une réaction émotive mais la réflexion. C'est peut-être vain! Je ne sais pas. Mais nos édiles sont censés être à peu près cortiqués, donc susceptibles de comprendre un raisonnement. Car avant tout c'est les édiles qu'il faudrait informer afin d'incurver et de peser sur les attitudes des institutions. Donc un dossier médical dans les "données scientifiques" du moment ne masquant rien, ni les faiblesses d'un point de vue, ni les faiblesses de l'autre. Dossier étayé d'une réflexion sociologique et historique simple. Qu'attendait on du dépistage quand il a été instauré? Est ce que ces attentes correspondent à une réalité? etc<br />le but, pour moi, serait de faire comprendre qu'on ne peut pas penser et choisir à la place d'autres personnes, qui plus est avec des idées fausses.<br />Somme toute là où un médecin peut choisir pour autrui sans demander...c'est en cas d'urgence vitale. Est il question là d'urgence vitale?<br />Mais ce serait proposer de changer de point de vue...m bronnernoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-56184966908391328362014-07-09T13:32:58.342+02:002014-07-09T13:32:58.342+02:00Oui d'accord avec Annette lexa, il faut faire ...Oui d'accord avec Annette lexa, il faut faire entrer la médecine dans un débat démocratique citoyen.Il faut oser dépasser le périmètre des blogs entre gens convaincus.BTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-24786445677343016152014-07-09T11:40:35.560+02:002014-07-09T11:40:35.560+02:00…(suite) Alors, oui, tant qu'une entité faite...…(suite) Alors, oui, tant qu'une entité faite de citoyens éclairés ne se réveillera pas pour dénoncer rationnellement les dérives des politiques de santé, nous en resterons là. Ce serait assez simple à expliquer aux vulgum pecus (députés inclus) par exemple la différence entre une statistique publique et un risque individuel, entre un danger et un risque. On pourrait aussi exiger que soit enseigné aux médecins quelques rudiments de psychologie humaine (voir le cas de la palpation systématique des seins totalement traumatisant chez une jeune fille quand elle est faite par un médecin homme, qui laissera des traces indélébiles, pour une balances bénéfice /risque plus qu'improbable).<br />Les français n'ont jamais aimé les maths, et cela ne date pas d'hier, et bien, il serait temps pourtant d'expliquer simplement comment actuellement on tort, on déforme la réalité du monde, particulièrement dans les sciences "molles " (biologie, médecines, sciences sociales, économie) avec des armes redoutables que sont des algorithmes, des modélisations, des statistiques, les biais dans les enquêtes épidémio..., et que c'est une arme redoutable lorsqu'on s'en sert ensuite pour prendre des décisions politiques dangereuses. <br /> On pourrait utiliser aussi l'arme de l'émotionnel en le renversant: à l'imprécation "cette femme a sauver sa vie en montrant ses seins" ou autres culpabilisations de mères qui ne feraient pas vacciner leur fille, on pourrait très bien formuler un turc du genre " avez vous envie de mourir ou être mutilée pour avoir été enroulée sans avoir été prévenue des conséquences ? vous considérez vous comme une moyenne statistique? <br />Personnellement, je voudrais juste qu'éthiquement, on laisse le CHOIX du dépistage, du traitement thérapeutique au patient sans le culpabiliser, le manipuler, le rejeter, le suspecter, l'engueuler (on me rapporte dans des milieux bien informés des oncologues qui engueulent leurs patients gravement atteints, pour avoir le culot d'aller chercher un peu de réconfort dans une médecine complémentaire, en réalité, ils cherchent juste un peu d'humanité, de réconfort devant leur peur de la mort, dans un monde de brutes gestionnaires pseudo rationnalisants) <br />On nous bassine ad nauseam à longueur de journée partout de compassionnel, d'égalitatisme, d'humanisme, d'émotionnel, et on a une médecine toujours aussi scientiste, inhumaine tenue par des gestionnaires et des lobbyies privés, donc peut être encore plus cynique qu'avant , et qui se cache derrière du personnel soignant bien souvent réellement compassionnel chargé de faire "du lien social" et qui racommode ce qui peut l'être mais qui est dépassé) . C'est à une autre médecine plus respectueuse de l'être humain qu'il faut appeler. et un autre rapport in fine à la mort.. mais , çà c'est une autre histoire !<br />ANNETTE LEXAnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-37623087257922793512014-07-09T11:40:15.251+02:002014-07-09T11:40:15.251+02:00"Peut-être que nous devrions tous en même tem..."Peut-être que nous devrions tous en même temps à l'aide du même dossier demander à rencontrer nos députés pour leur expliquer que la médecine nous rend malade dans certains cas!"<br /><br />Voilà une proposition concrète que je rejoins à 100% ! <br />Nous avons à lutter contre un esprit collectif moutonnier qui sur de nombreux sujets est extrêmement difficile à changer, du fait d'une inertie énorme et d'interêts financiers et lobbyistes. <br />C'est là que je rejoins la proposition de Martine Bronner d'en faire une affaire politique. la santé est une affaire politique dont les citoyens devraient s'emparer sérieusement. Effectivement médecins et patients convaincus devraient interpeller leurs députés sur ces questions de Dépistage Organisé, même si je ne me fais pas d'illlusion ! Si l'Etat se désengageait de sa mission de bienfaisance paternaliste, on assisterait très certainement à une privatisation et au développement d'une nouveau business du dépistage de grande ampleur qui pourrait devenir encore plus dangereux, puisque les ressorts du marketing de l'industrie sont encore plus redoutables pour manipuler les consciences que les "recommandations" des Agences institutionnelles. La peur de mourir est un levier d'une puissance inégalée, tout comme le sexe et ce qui tourne autour ! <br /><br />En France, nous avons un train de retard sur les pays anglo saxons et généralement , nous importons les idées nouvelles tardivement et de manière déformée, pour la mettre à la sauce française.. (cf tout récemment la gestion calamiteuse de la théorie du genre) .Alors que les USA sont revenus du dépistage systématique, et semblent prôner le libre choix (si tant est que ce choix repose sur une information non biaisée, ce qui est une autre histoire) , nous persistons à nier l'évidence, comme le nuage de Tchernobyl qui , nous assurait-on à l'époque très doctement, s'était arrêté aux frontières. Tout jeune doctorante en toxicologie à l'époque, ce mensonge m'avait scandalisée , tout comme tant d'autres qui ont suivis en matière de santé et d'environnement…. (à suivre) <br />ANNETTE LEXAnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-30537974215273701962014-07-07T16:49:27.061+02:002014-07-07T16:49:27.061+02:00Merci pour ce billet mais...après un tel inventair...Merci pour ce billet mais...après un tel inventaire, proposer une sortie du dépistage organisé semble impossible sinon de changer radicalement de point de vue au sens large et cela dépasserait amplement le seul domaine du dépistage pour toucher à la façon de voir la médecine et les médecins. Malgré cela je suis en tout point en accord avec ce que vous dites donc:- proposons!<br />Le préalable me semble être une modification de point de vue de l'inca et de l'has et donc du ministère. <br />1- sortir de la communication d'octobre rose et couper tout financement.<br />2- proposer aux hopitaux de se désengager d'octobre rose.<br />Pour la patiente-lambda comme moi, le fait qu'un organisme officiel apparaît de près ou de loin dans la communication d'octobre rose lui donne une caution de sérieux. Il devient impossible pour une femme de faire la part des choses et cela d'autant plus que vous mêmes, les médecins, n'en êtes pas capables! <br />sans doute que pour les généralistes la profession semblerait évoluer vers une fonction de "iatrogéniste" au sens où il pourrait expliquer l'ensemble d'une problématique sans être forcément dans l'interventionnisme car il est sans doute moins courtisé et séduit par big-pharma. Le discours concernant le cancer du sein est une soupe d'émotion dont il faudrait sortir. La médecine et son raisonnement spécifique doivent être expliqués et non pas tenus secrets parce que trop compliqués à comprendre! Il faudrait selon moi sortir des attitudes systématiques qui dès l'instant où elles deviennent systèmes organisent en parallèle leur propre continuité dans le temps et vivent en elles-mêmes sans plus réfléchir le sens de leur propre justification. En exemple,j'ai observé ces derniers mois l'émergence des "packs"dépistage du cancer sein+colon etc.qui auront l'inconvénient de ne pas laisser l'un évoluer sans l'autre. Car dès l'instant où, une fois le schmilblick installé, l'un des deux devrait se renégocier totalement à la lumière des dernières études on hésiterait à le remettre en question de peur de nuire à l'autre.<br />Donc la seule solution serait un "dépistage"au cas par cas. Mais comment faire pour que les médecins ne se sentent pas tenus pour gérer la trouille du cancer, celle des procès etc, comment faire pour qu'ils ne soient pas incitatifs?<br />C'est entre les mains des institutions. Il faut des recommandations "correctes" et une attitude qui ne soit pas paternaliste. Laisser le choix au patient sans lui proposer un choix et sans le renégocier.<br />C'est le point de vue qui doit changer...pas évident.<br />Et puis peut-être une bricole qui ne me semblerait pas inutile "un livret" radiographie pour le patient afin que l'on puisse visualiser le nombre de mammos par exemple (parfois considérable selon les cas).<br /><br />Peut-être que nous devrions tous en même temps à l'aide du même dossier demander à rencontrer nos députés pour leur expliquer que la médecine nous rend malade dans certains cas!<br /><br />une société qui marche sur la tête,<br />Entendu à la radio ce matin:- grande décision de prévention dans les festivals de musique, proposer au spectateur l'usage de bouchons d'oreille!!! <br />m bronnernoreply@blogger.com