tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post2833998256202248710..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: XAVIER BERTRAND : UN VISITEUR MEDICAL QUI NE LIT TOUJOURS PAS PRESCRIREJC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-53796131442090267442011-03-13T19:48:17.987+01:002011-03-13T19:48:17.987+01:00Je me permets de vous signaler le PS que j'ai ...Je me permets de vous signaler le PS que j'ai rajouté ce jour dans le corps du PostJC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-43991981742387539432011-03-09T10:45:51.690+01:002011-03-09T10:45:51.690+01:00Bien sûr, vous avez raison. Il y a plusieurs nivea...Bien sûr, vous avez raison. Il y a plusieurs niveaux d'analyse.<br />Je en voulais pas dire que les moyens techniques ne servent à rien. Je voulais dire plutôt que le décalage entre une utilisation très importante de la pilule et l'absence de d'effets sur le nombre d'IVG (c'est tout de même l'objectif ultime recherché) montre:<br />1) que les médecins, formés par l'industrie pharmaceutique surestiment le pouvoir des moyens techniques et médicamenteux par eux mêmes et croient qu'administrer un traitement produit des résultats automatiquement. Ce n'est pas un scoop je crois.<br />2) que ces mêmes médecins, formés par les mêmes et payés à l'acte (ça aggrave leur cas) ont une nette tendance à chercher à gagner du temps et à se comporter comme des épiciers: "Vous me filez le chèque (ou la carte vitale) je vous file votre médoc", sans plus de tentative pour essayer de comprendre les besoins de la patiente qui se trouve en face d'eux.<br />3)pour avoir pratiqué l'éducation à la sexualité dans les collèges, je sais bien que les ados sont très très mal informés (voire sont totalement déformés) par les médias au sujet de leur sexualité et de ce qui va avec. C'est normal si on laisse toute la place aux médias qui cherchent à leur vendre quelque chose, et non pas à les informer ou à les éduquer sur ce sujet.<br />Voila le sens de mon propos.<br />CMTAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-54381943233624289482011-03-09T07:43:28.046+01:002011-03-09T07:43:28.046+01:00@CMT
Merci pour ce commentaire. La Santé Publique,...@CMT<br />Merci pour ce commentaire. La Santé Publique, ce n'est malheureusement pas souvent un dialogue médecin patient car les influences externes sont fortes : experts, media.<br />Pour l'IVG, j'essaierai de développer une autre fois en ajoutant des données comme celle de l'enfant désiré et de tous les moyens pour y aboutir ; ainsi que le problème, à mon sens crucial, de la "division de la conscience" pour ce qui est du respect de la vie, ainsi encore que celle de la notion assez difficile à comprendre, vu de Sirius, du droit des femmes à disposer de leur corps. Car, vous l'avez dit, les problèmes techniques ne sont pas tout ; encore que le niveau de connaissance des moyens contraceptifs est, selon mon expérience, trop faible et associé à des croyances assez difficiles à modifier tant du point de vue médical que sociétal.<br />A +JC GRANGEhttps://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-27798051411133978782011-03-09T00:39:04.859+01:002011-03-09T00:39:04.859+01:00Chacun sait ce qu'il en est du "paradoxe ...Chacun sait ce qu'il en est du "paradoxe français". Un des meilleurs taux de recours à la contraception d'Europe, avec une très nette prédominasse de la pilule(57%) et malgré cela, et des campagnes régulières de sensibilisation un nombre d'IVG qui reste stable autour de 220 000 avec 1 avortement pour 3 naissances; une femme sur 3 enceinte qui a une grossesse non désirée, et ces grossesses non désirées survenant 2fois sur 3 chez des femmes sous contraception.Une augmentation des IVG chez les mineures malgré une démocratisation de la contraception d'urgence.<br />Bref. Le problème ne se limite certainement pas à une histoire technique de pilule plus ou moins performante. Il s'agit d'un problème de santé publique et de dialogue entre le médecin et les patientes.<br />Encore un exemple où la surestimation de l'importance de la "technique" a abouti à des effets contre-productifs en faussant l'approche du problème et son appréhension par les médecins.<br />CMTAnonymousnoreply@blogger.com