tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post706381759479455625..comments2024-03-21T19:16:17.213+01:00Comments on DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale: Quant aux chimiothérapies, il vaut mieux en faire un peu trop que pas assez ! affirme le docteur Legmann, Président du CNOM.JC GRANGEhttp://www.blogger.com/profile/02625782569551294943noreply@blogger.comBlogger10125tag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-87532264378105502232012-02-22T10:58:12.662+01:002012-02-22T10:58:12.662+01:00La proposition incroyable de notre président du co...La proposition incroyable de notre président du conseil national vient de m'inspirer un post sur la pertinence des soins et, non seulement le sur-diagnostic, mais encore le sur-traitement. Aux USA les politiques et le public sont très sensibles à ce sujet car (pragmatisme protestant) ils traduisent celà en dépenses sur le dos des Tax payers. De nombreux livres y ont été écrits traitant de celà. Vous pouvez lire mon post ici:<br />http://philippehavinh.wordpress.com/2012/02/22/the-overtreaters/<br />Bien cordialementHa-Vinhhttp://philippehavinh.wordpress.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-73757413381677523662012-02-08T14:32:01.399+01:002012-02-08T14:32:01.399+01:00@ Frédéric
Pour un regard critique sur la société ...@ Frédéric<br />Pour un regard critique sur la société française de l'hypertension, ou d'autres sociétés savantes de cardiologie et leurs rapports avec l'industrie pharmaceutique, on peut lire, avec des références sérieuses, le blog d'un cardiologue affranchi de toutes ces influences : <br />http://grangeblanche.com/<br />ça relativise beaucoup la portée des affirmations péremptoires qui nous sont assenées ici ou là...pr mangemanchehttp://quadrature.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-25031927064907263112012-02-08T09:27:24.322+01:002012-02-08T09:27:24.322+01:00Salut,
et désolé d'avance de polluer ce post...Salut, <br /><br />et désolé d'avance de polluer ce post avec un commentaire n'ayant rien à voir avec le sujet.<br />Disons aussi que le sujet me laisse sans voix, et peut se passer de commentaire, tellement que c'est énorme toute cette connerie... Bref.<br /><br />Je viens donc ici comme un petit caliméro réclamer l'aide de mes ainés (= vous), quant à l'interprétation d'un document présenté comme informatif, émanant des, je cite : comité français de lutte contre l'hta, société française neuro-vasculaire, et société française d'hta. Que des gens bien.<br />Je n'ai pas encore pris la peine de googliser tout ça tellement je suis à peu près sûr de ce que je vais découvrir.<br />Voilà, ce courrier, reçu par la poste aujourd'hui même, m'apprend à travers un petit guide de "bonne pratique" (gniark gniark !) que, je cite encore : "si un hypertendu traité n'est pas contrôlé par la monothérapie initiale, le passage à la bithérapie sera plus efficace que le doublement de la dose de la monothérapie", point, à la ligne. <br />Aucune référence.<br />Les bras m'en tombent un peu, because cela contredit ce que j'ai appris en fac, et appliqué jusqu'à ce jour, à savoir qu'il était préférable d'augmenter croissant la dose de la monothérapie de 1ère ligne avant de commencer à faire des cocktails, avec addition d'effets indésirables et d'interaction, etc.<br />D'autant plus que la revue Prescrire, dans une synthèse de mars 2008 intitulée "hypertension artérielle : traitement de deuxième ligne : d'autres monothérapie", semble prétendre que même en cas d'échec d'une première monothérapie, il est préférable d'instaurer une autre monothérapie ayant fait ses preuves plutôt que d'embrayer sur une bithérapie.<br /><br />Argh !!!... Qui croire ?!!!... <br /><br />Suis-je totalement parano, à me représenter d'emblée des sociétés savantes aux intérêts convergents avec ceux des "industries du médicament", tentant de me faire passer un message à peine subliminal : "prescrivez des anti hypertenseurs en association, plus modernes, plus nouveaux, plus brillants, plus mieux, plus... chers" ?<br /><br />Oui, non, c'est sûr, je suis parano.<br />Qui ne le serait pas, à ma place ?... <br /><br />HELP NEEDEDFrédéricnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-11104841802890483732012-02-07T19:56:10.417+01:002012-02-07T19:56:10.417+01:00A propos d'anti-VEGF, avez-vous vu, ou lu, des...A propos d'anti-VEGF, avez-vous vu, ou lu, des cas de néphrotoxicité après injections intra-vitréennes ? On doit être largement à plusieurs centaines de milliers d'injections annuelles d'avastin et de lucentis.<br />Pardon à JCG mais j'ai rarement accès à un néphrologue, je saisis l'occasion.NPnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-53284143519813397792012-02-05T21:49:15.474+01:002012-02-05T21:49:15.474+01:00Je dois dire que celle-là elle est grandiose...
Q...Je dois dire que celle-là elle est grandiose...<br /> Quand j'ai lu l'article, j'aurai pu me pincer pour voir si je ne rêvais pas, si les bras ne m'étaient pas déjà tombés!! Pourtant, le titre en couverture était alléchant: "Fait-on trop de dépistage du cancer du sein?" (ou à peu près ça, je ne me souviens plus de la phrase exacte). Je me dis "chouette, enfin on se pose la question officiellement"... Et arrivé à l'intérieur, ben en fait... non! "Le dépistage, c'est vraiment utile!" (ou à peu près encore une fois). Le seul chercheur qui est censé apporter la contradiction a du mal à placer trois mots... Et la cerise sur le gâteau, c'est bien cette splendide phrase du Dr Legmann (pas le dernier des clampins quand même...). En même temps, le dépistage le fait vivre il me semble (qui a dit conflit d'intérêt??) Je l'invite donc chaleureusement à subir une chimiothérapie, inutile si possible, c'est encore plus drôle!! Non mais comme dit ma chère maman, "il vaut mieux entendre ça que d'être sourd!!"dr kaleenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-7755340844644235612012-02-04T17:22:16.701+01:002012-02-04T17:22:16.701+01:00ce communiqué de presse de la HAS vise à renforcer...ce communiqué de presse de la HAS vise à renforcer la participation au dépistage, le document (questions-réponses) proposé au téléchargement en bas de page a au moins le mérite d'évoquer la controverse mais n'en tire pas les enseignements nécessaires<br /><br />il y est écrit explicitement<br />"Cette décision [de dépister] a été prise, à l’échelle collective, sur la base de la baisse attendue des taux de mortalité par cancer du sein associée au dépistage par mammographie. Or, l’actualisation des méta-analyses et les données<br />[...] ont montré que l’impact des programmes sur la mortalité était plus faible qu’attendu [...]. La balance bénéfice-risque est d’autant plus défavorable que le dépistage concerne des<br />femmes jeunes et/ou sans facteur de risque. Ces résultats ont conduit certains auteurs à<br />recommander une modification des messages adressés aux femmes, mais également des indicateurs de résultats associés au dépistage (avec notamment quantification du phénomène de sur-diagnostic).<br />Au moment de l’évaluation réalisée par la HAS (2011), les conclusions de la controverse autour de<br />l’intérêt du dépistage du cancer du sein par mammographie n’étaient toujours pas tranchées d’un point<br />de vue scientifique, mais aucun pays n’a remis en cause l’intérêt de la stratégie de dépistage chez les femmes de 50 à 74 ans.<br />L’existence de cette controverse, largement diffusée dans la presse médicale, a été prise en compte<br />dans l’évaluation et dans les recommandations de la HAS, en particulier parce qu’elle est susceptible d’induire chez les professionnels et/ou chez les femmes une moindre confiance dans le dispositif en place et donc d’avoir un impact sur la participation au dépistage, individuel ou organisé.[...] L'objectif des recommandations de la HAS n’était pas de prendre position sur la controverse, ni de remettre en cause l’intérêt du dépistage du cancer du sein chez les femmes de 50 à 74 ans, dans la mesure où cette question devrait faire l’objet d’une revue approfondie de la littérature et n’était pas l’objet de la demande initiale. C’est néanmoins un des besoins majeurs et axes de travail<br />complémentaires que la HAS a identifié à l’issue de son évaluation et qui devra être mis en oeuvre afin d’améliorer le dépistage du cancer du sein en France." [Fin de citation]<br /><br />Puisqu'il est urgent d'attendre les conclusions scientifiques des recherches issues de la controverse, pourquoi sa conséquence redouter une moindre participation et renforcer la publicité auprès des femmes et le lobbying auprès des médecins, pourquoi étudier l'"extension des tranches d’âge dans le dépistage du cancer du sein (avant 50 ans et après 74 ans".<br /> <br />La HAS n'assume pas ses doutes.<br />Le dépistage de masse perdurera tant que son inefficacité n'aura pas été démontrée, alors qu'il eut été juste que son efficacité soit démontrée avant de le généraliser.goldoralexnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-41029776100380970852012-02-04T12:19:24.671+01:002012-02-04T12:19:24.671+01:00la HAS persiste
http://www.has-sante.fr/portail/jc...la HAS persiste<br />http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1196105/cancer-du-sein-un-nouveau-souffle-pour-le-depistage-organise<br /><br />il y est fait mention de "la qualité supérieure" du dépistage organisé (par rapport au dépistage individuel)<br /><br />ça m'a fait pensé à la mention identique apposée sur les jambons qui ne sont que des labels marketing et certainement pas une preuve de qualitégoldoralexnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-45928621924091996512012-02-04T10:35:15.579+01:002012-02-04T10:35:15.579+01:00@Dominique Dupagne : merci pour cette illustration...@Dominique Dupagne : merci pour cette illustration. Cela semble couler de source expliqué ainsi^^!! et pourtant...Sweet_Faerynoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-45537755611943584122012-02-04T10:28:25.480+01:002012-02-04T10:28:25.480+01:00Elle est mythique cette phrase, je propose qu'...Elle est mythique cette phrase, je propose qu'elle devienne la devise officiel du CNOM. <br />Je vais la ressortir à tous mes patients qui ont une néphrotoxicité des produits de chimiothérapies. Hier soir reçu une femme de 40 ans, SHU avec un anti VEGF, je suis sur qu'elle va gouté cette poésie CNOMienne.kystehttps://www.blogger.com/profile/10069302060774056241noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4313472142599177823.post-75983913617510504472012-02-04T09:30:48.371+01:002012-02-04T09:30:48.371+01:00Deux commentaires.
Le premier, de Desproges : &qu...Deux commentaires.<br /><br />Le premier, de Desproges : "Il y a des métastates qui se perdent".<br /><br />Le deuxième, pour ceux qui ont du mal à comprendre la régression des cancers : personne ne conteste, et ne peut contester tant c'est factuel, que 50% de cancers du col de l'utérus disparaissent spontanément.<br />http://www.invs.sante.fr/publications/2008/cancer_col_uterus_2008/cancer_col_uterus_2008.pdf<br /> page 14 : 32% de régression, 56% de stabilisation 12% d'évolution. Soit à terme au moins 50% de disparition. Est-ce spécifique du cancer du col ? Non. Il s'agit simplement d'un cancer facile à étudier, puisqu'il est en surface et facilement accessible. Et donc, on peut le surveiller. Et donc on peut constater qu'une grande partie des cancers localisés régressent spontanément.Dominique Dupagnehttps://www.blogger.com/profile/01680430535950811697noreply@blogger.com