Il y a déjà un moment que j'ai lu les deux textes que je vous propose, l'un de Marc Girard et l'autre de Marc Zaffran (Martin Winckler). Les psychanalystes en herbe et les plus confirmés des analystes ne manqueront pas de faire un développement sur le fait que les deux auteurs se prénomment Marc. J'ai été intéressé par la convergence de leurs analyses aux détails près que sont leur ontologie propre, leur positionnement idéologique et leur style.
Tentant de me désintoxiquer de mon bachelotage actuel qui avait pris une allure grippale (au sens de prendre en grippe), je suis revenu vers mes dadas que sont le respect de l'Humain et le respect du Patient dans la médecine.
En faisant un détour par le corps des femmes.
Je reviendrai dans une autre rubrique sur la lecture de Paul Yonnet et de son livre sur la famille qui m'a rappelé combien le problème de l'avortement (l'interruption volontaire de grossesse) était un problème crucial de la conscience moderne (Yonnet Paul, Famille - Tome I Le recul de la mort. L'avènement de l'individu contemporain, Paris, Gallimard, 2006).
Vous lirez donc ces deux textes. Le premier : La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne par Marc Girard, le second : Les violences faites aux femmes... par les médecins par Marc Zaffran.
J'aurais pu vous faire lire ces articles en aveugle mais l'interprétation contextuelle est indispensable.
Je ne sais si l'un a influencé l'autre et vice versa. Sachez que le texte zaffranien date du 25 novembre 2009 et que le texte girardien date du 25 janvier 2010 (remise à jour d'un texte plus ancien qui n'est pas daté sur le site).
J'ajoute, comme à l'accoutumée, que je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'écrivent les deux médecins.
J'ajoute également, mais je n'ai pas écrit d'article à ce sujet, que le corps des hommes est lui aussi brutalisé par les médecins et je ne citerai que deux interventions, la circoncision, pour les jeunes enfants / hommes dans certaines cultures et la chirurgie de la prostate (pour adénome ou pour adénocarcinome) pour les hommes mûrs. Et, dans le passé l'amygdalectomie masculine...
J'attends qu'une femme écrive un article sur la brutalisation du corps masculin...par les médecins.
A vos plumes.
Tentant de me désintoxiquer de mon bachelotage actuel qui avait pris une allure grippale (au sens de prendre en grippe), je suis revenu vers mes dadas que sont le respect de l'Humain et le respect du Patient dans la médecine.
En faisant un détour par le corps des femmes.
Je reviendrai dans une autre rubrique sur la lecture de Paul Yonnet et de son livre sur la famille qui m'a rappelé combien le problème de l'avortement (l'interruption volontaire de grossesse) était un problème crucial de la conscience moderne (Yonnet Paul, Famille - Tome I Le recul de la mort. L'avènement de l'individu contemporain, Paris, Gallimard, 2006).
Vous lirez donc ces deux textes. Le premier : La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne par Marc Girard, le second : Les violences faites aux femmes... par les médecins par Marc Zaffran.
J'aurais pu vous faire lire ces articles en aveugle mais l'interprétation contextuelle est indispensable.
Je ne sais si l'un a influencé l'autre et vice versa. Sachez que le texte zaffranien date du 25 novembre 2009 et que le texte girardien date du 25 janvier 2010 (remise à jour d'un texte plus ancien qui n'est pas daté sur le site).
J'ajoute, comme à l'accoutumée, que je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'écrivent les deux médecins.
J'ajoute également, mais je n'ai pas écrit d'article à ce sujet, que le corps des hommes est lui aussi brutalisé par les médecins et je ne citerai que deux interventions, la circoncision, pour les jeunes enfants / hommes dans certaines cultures et la chirurgie de la prostate (pour adénome ou pour adénocarcinome) pour les hommes mûrs. Et, dans le passé l'amygdalectomie masculine...
J'attends qu'une femme écrive un article sur la brutalisation du corps masculin...par les médecins.
A vos plumes.
Je me permets de vous signaler ce blog tenu par une sage-femme : http://boob.over-blog.fr/ ; en matière de violences faites aux femmes, il y a quelques anecdotes ébouriffantes !
RépondreSupprimerMalheureusement, la maître des lieux Betty Boob (maîtresse est décidément trop ... trop) doit être débordée (merci Roselyne !) et n'y écrit plus depuis longtemps ...
**J'attends qu'une femme écrive un article sur la brutalisation du corps masculin...par les médecins.**
RépondreSupprimerVous attendez qu'une femme écrive cela, ou un médecin? Ou une femme médecin?
Pourquoi une femme devrait écrire sur la brutalisation du corps des hommes par la médecine moderne alors que celle-ci a été pensé par des hommes, dans l'intérêt des hommes. Si la brutalisation des corps des hommes doit être abordé, et là encore c'est une question qui me laisse perplexe, je crois que c'est davantage pour analyser l'approche de la médecine en général et non parce qu'il y aurait un problème structurel qui brutaliserait les hommes en particulier... Allons donc, laissons aux femmes la chance relever leur propres défis sans culpabiliser de ne pas penser à tout le monde... et si les hommes voient un problème avec le traitement que fait la médecine de leur corps ils sont certainement les mieux placer pour le faire...
RépondreSupprimersavoir
RépondreSupprimer**J'attends qu'une femme écrive un article sur la brutalisation du corps masculin...par les médecins.**
RépondreSupprimer=> L'élongation du pénis par les Urologues.
Je ne suis pas toubib juste traumatisée d'avoir regardé sur arte le théma du mercredi 7 mars 2012 à 20:35 dont "La domination masculine"
(France, Belgique, 2009, ARTE / RTBF)
Réalisateur: Patric Jean
le début de documentaire m'a laissé choquée comme lorsque je m'informais sur l'excision...
Comment peut-il être admis par des Urologues pour motif esthétique de mutilé un homme?
Je ne crois pas qu'il faille beaucoup de connaissances médicales pour comprendre qu'il y a un risque sur la sexualité du patient (dont je ne comprends pas l'intérêt car à l'érection la longueur reste la même, et que les hommes "trop membrés" sont fuis par ses dames, moi la première, donc juste pour la longueur au repos et le "montrer aux copains"?) de détruire le frein d'un pénis, cela doit gèner à la pénétration : il y a-t-il un risque d'entorse?
Ce n'est pas un article, mais bon ...