Le docteur Patrick Bouet, Président du Conseil National de l'Ordre des Médecins (PCNOM), nouveau membre de l'Académie de médecine (on le félicite pour l'ensemble de ses titres et travaux), répond à un journaliste dans la revue médicale Le Généraliste, journal dont l'équilibre financier est assuré par la publicité pharmaceutique et je signale en passant aux commerciaux que j'en ai assez de le recevoir gratuitement dans ma boîte à lettres.
Avant que de lire mes commentaires, lisez l'entretien, il est ICI.
Rappelons aussi qu'il est probable que cet entretien fait suite à la lettre ouverte que nous avons écrite et à la pétition qui a suivi : voir LA
Le PNCOM nous dit d'abord qu'il faut que les médecins sachent que s'ils n'adoptent pas une attitude conforme aux données de la science ou s'ils mettent en danger les patients ils devront en assumer les responsabilités.
Diable.
Nous sommes d'accord !
Mais.
Mais, Monsieur le PCNOM, j'assume mes responsabilités. J'attends sans peur que le PCNOM intente des actions de justice contre les signataires de la lettre ouverte adressée aux députés de la République. Je suis prêt à me défendre et à montrer que les arguments scientifiques sur lesquels repose cette obligation vaccinale à 11 vaccins sont ténus et sans aucun rapport avec une menace sanitaire de grande ampleur, telle que vous semblez l'évoquer. Quant à restaurer la confiance, notre collègue Lehmann a montré combien le discours buzynien était avant tout un discours touchant à la novlang orwellienne : voir LA.
Vous avez également dit lors de cet entretien, je vous cite, "Créer l'obligation pour ces vaccins dont nous savons qu'ils protègent et sauvent des vies, c'est une action de santé publique."
Connaissez-vous ces données ?
Les décès des enfants de moins de 1 an : Les chiffres de 2008 montrent que 53 (1,6 %) des 3095 décès chez des enfants de moins de 1 an sont liés à des causes infectieuses et parasitaires (dont une partie seulement sont vaccinopréventables). Voir LA.
1 : Certaines affections d'origine périnatales (1557) dont complications de la grossesse (408), affections respiratoires (287), affections hémato et hémorragiques (181), infections (145),
2 : Malformations congénitales (640)
3 : Mort subite du nourrisson (261)
4 : Causes inconnues non précisées (151)
5 : Maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques (69).
Heureusement que vous avez sous la main le bon professeur Joyeux qui vous permet d'amalgamer sa personne, farfelue, peu crédible, et peu informée et l'assimiler aux médecins qui s'interrogent. Le professeur Joyeux est l'idiot utile des vaccinolâtres et permet de cacher la forêt des légitimes interrogations.
Mais vous allez plus loin, cher PCNOM, pour faire peur en agitant devant l'opinion médusée le spectre d'une épidémie d'encéphalopathie rougeoleuse ! Comme l'a écrit un excellent confrère en son blog (ICI) il n'y a jamais eu en France d'épidémie d'encéphalopathie rougeoleuse !
Sont-ce les données de la science que de faire peur ?
Les données de la science vont sans doute venir, il suffit que la ministre de la Santé et/ou la DGS commande au Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, le phare des publications scientifiques mondiales, le journal paroissial des Eglises françaises de vaccinologie et de dépistologie réunies, un article ad hoc, une étude prospective dans le style stochastique --très à la mode--, annonçant des milliers de morts dues à une encéphalopathie rougeoleuse dramatique si le taux de couverture vaccinale descend au dessous de 74,197 %.
Mais j'imagine quand même qu'un praticien finlandais qui aurait accepté de vacciner des enfants avec Pandemrix, le vaccin anti grippal, et dont certains auraient développé une grave maladie auto-immune, la narcolepsie, n'aurait-il pas dû refuser de façon jusqu'au boutiste ? Je laisse cela à votre appréciation, Monsieur le PCNOM. Je suis certain par ailleurs que les poursuites sont engagées à l'égard des experts qui soutenaient en 2009 que Pandemrix était sûr : vous voulez des noms ?
Au delà de Pandemrix nous nous rappelons, lors de la grande pseudo pandémie grippale de 2009, les prévisions alarmistes des experts (une encéphalopathie rougeoleuse à la puissance mille) qui ont conduit au fiasco organisationnel, idéologique, commercial et scientifique que nous avons tous vécu, fiasco qui a entraîné une défiance du public à l'égard de la vaccination en général. Eh bien, ces experts, apprenez, mon cher confrère membre de l'Académie de médecine, ils sont toujours là, en poste ou en d'autres endroits de la République vaccinale. Pour vous paraphraser : "Avez-vous eu le courage de ne pas assumer leurs déclarations ?"
Le problème du refus de vaccination par des praticiens ne me concerne pas, Monsieur le PCNOM, car, dans une démarche d'information claire et loyale, si des parents veulent ou exigent que leurs enfants soient vaccinés, je les vaccine. Apprenez, cher PCNOM, qu'il existe en France des praticiens qui 1) savent que la décision partagée est un objectif respectable, qui 2) tentent, malgré tous les obstacles, de l'appliquer et qui 3) ne pensent pas qu'il s'agit la fin de la médecine.
Le cas des parents qui refusaient jusqu'à présent les 3 vaccinations obligatoires, soit diphtérie, tétanos et polio, était simple pour moi, je ne concevais pas qu'il faille faire des faux, faux certificats de vaccination et/ou faux certificats de contre-indication à la vaccination. Mais, l'après-midi où j'étais à la piscine, j'ai dû manquer les actions du PCNOM pour exiger du Ministère de la Santé qu'il exige que les industriels fournissent un vaccin combiné Diphtérie/Tétanos/Polio, comme la loi l'imposait, et non des vaccins combinés imposant des vaccinations non obligatoires. C'était l'intérêt des enfants car, ne pas vacciner les enfants, c'est leur interdire l'école qui est un droit fondamental pour tous.
Quand vous dites "Il n'y a pas de débat" alors que vous n'apportez pas les preuves de vos assertions, que devons-nous en penser ? Pas de débat scientifique ? La science se fonde sur le débat, je parle aussi du débat socratique et pas des décisions autoritaires prises dans des antichambres ministérielles largement polluées par l'argent de l'industrie pharmaceutique.
L'histoire de la science et, accessoirement, de la médecine est celle de l'incertitude, du doute raisonnable, de la confrontation des arguments comme le montrent nombre de retours en arrières liés non pas à des avancées de la science mais à la prise de décisions précipitées et pas assez étayées. Lire CECI qui parle du pays de Pasteur.
Je me permets de citer intégralement la dernière réponse que vous faites dans cet entretien.
Nous sommes d'accord !
Mais.
J'ignorais que le PCNOM menât un combat sans relâche contre les médecins qui n'adoptaient pas une attitude conforme aux données de la science. Enfin, ça se saurait, on me l'aurait dit.
Ou alors.
J'avais certainement piscine quand le PCNOM a entamé des actions disciplinaires contre les gentils médecins qui ont prescrit Mediator pendant des années hors AMM et sans respecter les données de la science ; j'avais aussi piscine quand le PCNOM a poursuivi les gentils médecins qui prescrivaient le procubitus pour les nourrissons (600 morts par an), les gentils médecins qui pratiquent annuellement un frottis du col utérin chez des femmes sans facteurs de risque, les gentils médecins qui nient le sur diagnostic engendré par le dépistage organisé du cancer du sein (et les mutilations féminines qui s'en suivent), les gentils médecins qui accordent des AMM à des molécules anti cancéreuses qui n'ont aucune efficacité clinique significative selon le critère Amélioration de l'espérance de vie et qui mettent en jeu l'intégrité des patients, les gentils médecins qui ont conseillé (et qui continuent de conseiller) le dosage du PSA chez les hommes afin de dépister un cancer de la prostate sans aucun bénéfice sur la mortalité globale et au prix de mutilations masculines, les gentils médecins français qui, contre toute attente, prescrivent beaucoup (trop) d'antibiotiques...
sans oublier que notre PCNOM a dû, mais j'avais piscine, en se fondant sur les données de la science et sans céder à des considérations politiques et/ou commerciales, se prononcer pour le déremboursement des médicaments dits anti Alzheimer qui sont inutiles, nuisibles et dangereux (on me dit dans l'oreillette que ce n'est pas encore fait) et intenter une action contre la ministre de la Santé Madame Buzyn qui, contrairement aux données de la science et à l'intérêt des patients, a maintenu le remboursement.... Quant aux grands problèmes de santé publique, quelques pistes : LA.
Ou alors.
J'avais certainement piscine quand le PCNOM a entamé des actions disciplinaires contre les gentils médecins qui ont prescrit Mediator pendant des années hors AMM et sans respecter les données de la science ; j'avais aussi piscine quand le PCNOM a poursuivi les gentils médecins qui prescrivaient le procubitus pour les nourrissons (600 morts par an), les gentils médecins qui pratiquent annuellement un frottis du col utérin chez des femmes sans facteurs de risque, les gentils médecins qui nient le sur diagnostic engendré par le dépistage organisé du cancer du sein (et les mutilations féminines qui s'en suivent), les gentils médecins qui accordent des AMM à des molécules anti cancéreuses qui n'ont aucune efficacité clinique significative selon le critère Amélioration de l'espérance de vie et qui mettent en jeu l'intégrité des patients, les gentils médecins qui ont conseillé (et qui continuent de conseiller) le dosage du PSA chez les hommes afin de dépister un cancer de la prostate sans aucun bénéfice sur la mortalité globale et au prix de mutilations masculines, les gentils médecins français qui, contre toute attente, prescrivent beaucoup (trop) d'antibiotiques...
sans oublier que notre PCNOM a dû, mais j'avais piscine, en se fondant sur les données de la science et sans céder à des considérations politiques et/ou commerciales, se prononcer pour le déremboursement des médicaments dits anti Alzheimer qui sont inutiles, nuisibles et dangereux (on me dit dans l'oreillette que ce n'est pas encore fait) et intenter une action contre la ministre de la Santé Madame Buzyn qui, contrairement aux données de la science et à l'intérêt des patients, a maintenu le remboursement.... Quant aux grands problèmes de santé publique, quelques pistes : LA.
Vous avez également dit lors de cet entretien, je vous cite, "Créer l'obligation pour ces vaccins dont nous savons qu'ils protègent et sauvent des vies, c'est une action de santé publique."
Connaissez-vous ces données ?
Les décès des enfants de moins de 1 an : Les chiffres de 2008 montrent que 53 (1,6 %) des 3095 décès chez des enfants de moins de 1 an sont liés à des causes infectieuses et parasitaires (dont une partie seulement sont vaccinopréventables). Voir LA.
1 : Certaines affections d'origine périnatales (1557) dont complications de la grossesse (408), affections respiratoires (287), affections hémato et hémorragiques (181), infections (145),
2 : Malformations congénitales (640)
3 : Mort subite du nourrisson (261)
4 : Causes inconnues non précisées (151)
5 : Maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques (69).
Heureusement que vous avez sous la main le bon professeur Joyeux qui vous permet d'amalgamer sa personne, farfelue, peu crédible, et peu informée et l'assimiler aux médecins qui s'interrogent. Le professeur Joyeux est l'idiot utile des vaccinolâtres et permet de cacher la forêt des légitimes interrogations.
Mais vous allez plus loin, cher PCNOM, pour faire peur en agitant devant l'opinion médusée le spectre d'une épidémie d'encéphalopathie rougeoleuse ! Comme l'a écrit un excellent confrère en son blog (ICI) il n'y a jamais eu en France d'épidémie d'encéphalopathie rougeoleuse !
Sont-ce les données de la science que de faire peur ?
Les données de la science vont sans doute venir, il suffit que la ministre de la Santé et/ou la DGS commande au Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, le phare des publications scientifiques mondiales, le journal paroissial des Eglises françaises de vaccinologie et de dépistologie réunies, un article ad hoc, une étude prospective dans le style stochastique --très à la mode--, annonçant des milliers de morts dues à une encéphalopathie rougeoleuse dramatique si le taux de couverture vaccinale descend au dessous de 74,197 %.
Mais j'imagine quand même qu'un praticien finlandais qui aurait accepté de vacciner des enfants avec Pandemrix, le vaccin anti grippal, et dont certains auraient développé une grave maladie auto-immune, la narcolepsie, n'aurait-il pas dû refuser de façon jusqu'au boutiste ? Je laisse cela à votre appréciation, Monsieur le PCNOM. Je suis certain par ailleurs que les poursuites sont engagées à l'égard des experts qui soutenaient en 2009 que Pandemrix était sûr : vous voulez des noms ?
Au delà de Pandemrix nous nous rappelons, lors de la grande pseudo pandémie grippale de 2009, les prévisions alarmistes des experts (une encéphalopathie rougeoleuse à la puissance mille) qui ont conduit au fiasco organisationnel, idéologique, commercial et scientifique que nous avons tous vécu, fiasco qui a entraîné une défiance du public à l'égard de la vaccination en général. Eh bien, ces experts, apprenez, mon cher confrère membre de l'Académie de médecine, ils sont toujours là, en poste ou en d'autres endroits de la République vaccinale. Pour vous paraphraser : "Avez-vous eu le courage de ne pas assumer leurs déclarations ?"
Le problème du refus de vaccination par des praticiens ne me concerne pas, Monsieur le PCNOM, car, dans une démarche d'information claire et loyale, si des parents veulent ou exigent que leurs enfants soient vaccinés, je les vaccine. Apprenez, cher PCNOM, qu'il existe en France des praticiens qui 1) savent que la décision partagée est un objectif respectable, qui 2) tentent, malgré tous les obstacles, de l'appliquer et qui 3) ne pensent pas qu'il s'agit la fin de la médecine.
Le cas des parents qui refusaient jusqu'à présent les 3 vaccinations obligatoires, soit diphtérie, tétanos et polio, était simple pour moi, je ne concevais pas qu'il faille faire des faux, faux certificats de vaccination et/ou faux certificats de contre-indication à la vaccination. Mais, l'après-midi où j'étais à la piscine, j'ai dû manquer les actions du PCNOM pour exiger du Ministère de la Santé qu'il exige que les industriels fournissent un vaccin combiné Diphtérie/Tétanos/Polio, comme la loi l'imposait, et non des vaccins combinés imposant des vaccinations non obligatoires. C'était l'intérêt des enfants car, ne pas vacciner les enfants, c'est leur interdire l'école qui est un droit fondamental pour tous.
Quand vous dites "Il n'y a pas de débat" alors que vous n'apportez pas les preuves de vos assertions, que devons-nous en penser ? Pas de débat scientifique ? La science se fonde sur le débat, je parle aussi du débat socratique et pas des décisions autoritaires prises dans des antichambres ministérielles largement polluées par l'argent de l'industrie pharmaceutique.
L'histoire de la science et, accessoirement, de la médecine est celle de l'incertitude, du doute raisonnable, de la confrontation des arguments comme le montrent nombre de retours en arrières liés non pas à des avancées de la science mais à la prise de décisions précipitées et pas assez étayées. Lire CECI qui parle du pays de Pasteur.
Je me permets de citer intégralement la dernière réponse que vous faites dans cet entretien.
"Nous estimons qu'il faut donner un caractère obligatoire à la vaccination antigripale chez tous les personnels de santé. Nous continuons de penser que les professions de santé doivent être exemplaires. Se vacciner, c'est montrer que l'on est convaincu du bien-fondé de l'action que l'on mène. La vaccination antigrippale nous apparaît être une exigence déontologique. C'est la raison pour laquelle nous conseillons au ministère de la Santé et au gouvernement de mettre en place l'obligation vaccinale des personnels de santé exerçant dans des collectivités et l'exigibilité vaccinale pour les personnes hébergées en EHPAD."
Nous sommes en plein délire. Premièrement, Monsieur le docteur Brouet, la vaccination anti grippale n'est pas efficace (mais il est certain que vous avez des preuves scientifiques disant le contraire) et, plus précisément chez les patients de plus de 65 ans (vous devriez poursuivre les officiels américains : LA). Deuxièmement, il n'existe aucune donnée consistante sur le fait que la vaccination des personnels soignants soit efficace dans les établissements de soins. Troisièment, je crois que vous avez oublié les textes de loi fondamentaux sur les droits des malades.
Bon.
Vous avez donné un coup de menton pour faire cesser la récréation.
Cela vous a fait plaisir.
Cela a contenté ceux dont vous êtes l'obligé. Vous affirmez pourtant ne pas, j'utilise vos mots, vous être mis à genoux devant le gouvernement et ne pas être à la solde des laboratoires.
Belle novlang orwellienne.
Je ne cèderai pas à ce genre de menaces, Monsieur le PCNOM, et je garderai ma faculté de critiquer, approuver, comprendre.
Bon.
Vous avez donné un coup de menton pour faire cesser la récréation.
Cela vous a fait plaisir.
Cela a contenté ceux dont vous êtes l'obligé. Vous affirmez pourtant ne pas, j'utilise vos mots, vous être mis à genoux devant le gouvernement et ne pas être à la solde des laboratoires.
Belle novlang orwellienne.
Je ne cèderai pas à ce genre de menaces, Monsieur le PCNOM, et je garderai ma faculté de critiquer, approuver, comprendre.
Je vous sens en colère.
RépondreSupprimerJ'approuve tout à fait votre point de vue et suis en plein accord avec vous. Quoique que ce monsieur s'en défende(En disant celà, je n'ai pas le sentiment de me "mettre à genoux devant le gouvernement" ou d'être à la solde des laboratoires), il est notoire que c'est exactement le contraire...
Quand à la vaccination contre la grippe, pour avoir sérieusement étudié le sujet, non seulement on nous ment honteusement sur le nombre de décès du à celle-ci avec des chiffres totalement bidons, mais en outre aucune étude clinique sérieuse n'a pu prouver la moindre efficacité de ce vaccin, y compris chez le personnel soignant. Mais ce monsieur est tellement imbu de lui-même qu'il ne va pas s'abaisser à lire une quelconque étude clinique! Et puis pour cette personne, en médecine, il n'y a pas de place pour le doute, il n'y a que des certitudes dictées par les labos...
Écoeurant !
Bravo merci !
RépondreSupprimerBRAVO. Nous devons tous relever la tête devant le retour de l'inquisition.
RépondreSupprimerCes Ordres , tribunaux d'exception, doivent disparaître et laisser la place à la justice du peuple.
Un collègue sympa, retraité, supléant dans mon CDO, me demande d'être son binome pour les prochaines élections . J'ai déjà plein d'arguments organisationnels contre mais ayant un coté " au service" assez développé , ici, ce serait pour mes confrères , je m'interroge ... Ce que je lis dans ce post et dans d'autre, me fait m'interroger encore et encore Comment peux-t-on vouloir être élu ? N'est-ce pas le risque de perdre son âme ? En-ais-je la force ? Mon esprit critique est-il assez aiguisé ? Ne vais-je pas souffrir rapidement d'ulcère du fait d'un état d'indignation permanent associé à la frustration de ne pouvoir rien faire, ou si peu... Et l'obligation du secret interne à l'institution !
RépondreSupprimerJe ne suis pas médecins, mais à vous lire foncez! On a tous besoin de gens comme vous. Entre les différents scandales qui prennent en otâge notre santé et notre liberté de choix, je me demande si les patients ne doivent pas s'organiser à leur tour puisque les cdom, cnom, HAS, ministères peinent à défendre les intérêt de la patientèle. Co-sanguinité?
RépondreSupprimerBravo ! Et merci...
RépondreSupprimerje n'ai pas votre talent d'écriture malheureusement. Je signe à deux mains.
RépondreSupprimerT. Lambert
Bravo , mille fois bravo.. merci pour votre position, tellement juste.. effectivement, je pense que le CODM ne prendra pas le risque d'un procès qu'il perdrait sans aucun doute.. ce sont donc des menaces en l'air et clairement un abus de pouvoir
RépondreSupprimerDDD'
Quel réconfort à lire ce commentaire, on se sent moins seul. Bravo, bravo et MERCI, il serait souhaitable que d'autres se joignent en masse autour de votre "bannière". Mais comment faire marche arrière alors que cette loi est "passée" auprès des députés et des sénateurs ?
RépondreSupprimerLa loi est en discussion au sénat, et il semble que les sénateurs soient moins enthousiastes à voter cette loi que les quelques députés présents dans l'hémicycle...
RépondreSupprimerOn peut espérer...
Ca fait du bien de réaliser qu'on n'est pas seul(e), en effet,à raisonner différemment, et à être consternés à cette perspective.
Quand on se souvient que le CO est une institution née sous le régime de Vichy, le côté dictatorial de l'intervention de son président retrouve un semblant de logique.
Dommage que Mitterrand ne soit pas allé jusqu'au bout de ses vélléités de supprimer cette institution!
@ dernier anonyme.
RépondreSupprimerLa référence à Vichy est déplacée. Certes le Conseil de l'ordre a été créé sous Vichy mais Mitterrand a aussi obtenu la francisque sous Vichy. Donc, soyons sérieux : pas d'anachronisme.
Nous avons d'autres arguments que cette reductio ad pastillum (Vichy).
Bonne soirée.
Des relais sont les bienvenus ;-)
RépondreSupprimerhttps://www.facebook.com/notes/nos-dirigeants-sont-gentils-ils-nous-poussent-à-nous-dresser/primum-non-nocere-en-premier-lieu-ne-pas-nuire-serment-dhippocrate/191345828081198/
Merci pour les partages du <3
L'heure est grave. BRAVO !!!!
RépondreSupprimerL'idée d'un projet de loi du projet de loi prévoyant la création d'un Ordre des médecins et complétant la loi de 1892 sur l'exercice de la médecine date de 1929 et l'Assemblée Nationale ajournera le vote du projet ; c'est Vichy qui crée un Ordre Supérieur des Médecins en 1940 abrogé par une Ordonnance du gouvernement provisoire à Alger en 1943. L'Ordre actuel est créé par une Ordonnance en 1945. L'idée d'un Conseil de L'Ordre venant apparemment du besoin de surveiller la moralité, pardon la déontologie des médecins :
RépondreSupprimer"Le 30 mars 1933, le docteur P. Dibos, président de la Confédération des Syndicats médicaux écrivait : « Ordre est synonyme de règle de discipline. Un Ordre des médecins est une discipline obligatoire pour tous les médecins ».
L'enfer est pavée de bonnes intentions n'est ce pas ?
Il s'agit maintenant comme au fond ça l'a toujours été de faire en sorte qu'aucune profession n'échappe à la volonté de ceux qui dirigent ce monde : les capitalistes qui ne supportent pas qu'un domaine économique leur échappe et qui utilisent des petits carriéristes pour servir leur volonté.
L'allusion à Vichy est beaucoup moins déplacée que la votre concernant les services d'oncologie comparés à des camps de la mort...Me semble t'il.
RépondreSupprimer
RépondreSupprimerOmerta rompue par Paris Match
Bonne nouvelle, qu'en pensez-vous, Docdu16 ?
https://www.facebook.com/toutestpourlemieux/posts/192098078005973
https://ecoledessoignants.blogspot.de/
RépondreSupprimerhttp://www.huffingtonpost.fr/baptiste-beaulieu/faire-des-blagues-homophobes-sur-twitter-quand-on-est-medecin-est-grave-cest-un-permis-de-discriminer_a_23286954/
Que chacun se fasse son idée:
RépondreSupprimerhttps://ecoledessoignants.blogspot.de/
http://www.huffingtonpost.fr/baptiste-beaulieu/faire-des-blagues-homophobes-sur-twitter-quand-on-est-medecin-est-grave-cest-un-permis-de-discriminer_a_23286954/
A anonyme
RépondreSupprimerje me suis fait mon idée et elle est que s'il a fallu à Baptiste Beaulieu faire des recherches sur 5 ans et plusieurs milliers de tweets pour en exhumer 4 ou 5 qui sont tout au plus douteux ou maladroits, c'est que sa haine doit être bien profonde et que la profession médicale doit être bien irréprochable en la matière puisque c'est le seul exemple qu'il a pu trouver.
Comme bien des fois quand Jean-Claude fait des blagues ou des jeux de mots sur twitter, c'est à dire souvent, on sourit ou on lève les yeux au ciel mais on n'en fait pas une affaire d'Etat ni l'occasion de salir quelqu'un qui s'est montré toujours très honnête sur ses faiblesses et ses limites là ou d'autres cherchent à se faire passer pour omniscients, ou font la morale.
Un de mes proches est homosexuel et je déteste qu'on s'attaque aux homosexuels comme toute autre forme de dénigrement ou de harcèlement d'une minorité, mais je trouve que Batiste Beaulieu a poussé le bouchon du politiquement correct un peu loin et qu'il a profité de la vague de dénonciations, majoritairement légitimes, pour mener à bien une vendetta personnelle.
@CMT
RépondreSupprimer"... là ou d'autres cherchent à se faire passer pour omniscients, ou font la morale."
c'est un auto portrait ?
C'est très courageux d'être désagréable sous couvert d'anonymat. Bravo! Félicitations!
RépondreSupprimerProchaine étape: délation du voisin?
@CMT
RépondreSupprimerj'avais bien mis mon nom pourtant mais au moment de la validation il semble qu'il n'ait pas été enregistré ; donc voici le correctif : Dr Chevalier médecin généraliste.
Je profite de cette mise au point pour rappeler à ceux qui fréquente ce Blog que l'AFIS (association Française pour l'information scientifique) est une officine de propagande pour les industries capitalistes et que le scientifique des intervenants est médiocre, leur argumentation agressive et malhonnête.
Mme CMT s'est basée sur ce site pour tenir des propos diffamatoires sur le Dr Wakefield : triste pour elle.
A Chevallier
RépondreSupprimervous êtes toujours anonyme. Chevallier c'est comme Dupont.
Et il faut arrêter de réinterpréter les faits à votre convenance. J'ai fait des recherches personnelles sur Wakefield et je ne suis pas allée sur le site de l'AFIS que je n'apprécie pas du tout.
Ce que j'ai dit est factuel. Vos propos sur le fait que j'aurais tenu des propos diffamatoires sont, eux , diffamatoires.
Wakefield a de l'argent grâce à ses fidèles et aux Etats-Unis, où il s'est réfugié, il n'y a pas beaucoup de difficultés à trouver des avocats. Il n'a jamais poursuivi en diffamation ceux qui l'attaquaient de manière factuelle.
Il faut arrêter de fantasmer.
@CMT,
RépondreSupprimerje vous site (votre commentaire du 4 novembre 2017 à 18 h35) :
"C’est vrai que j’ai cédé à la facilité en allant chercher de l’information sur le site du PSIRAM que je ne connaissais pas.
Diffuser de l’information sous forme anonyme n’est jamais bon signe.
De plus le PSIRAM se réfère à l’AFIS, qui est une association très liée à l’industrie, notamment au travers des conflits d’intérêts, qui défend bec et ongles les OGM et, bien sûr, l’obligation vaccinale." Fin de citation.
Non Madame ce que vous dites n'est pas "factuel" mais simplement des propos diffamatoires glanés sur la toile ; votre "culture scientifique" est d'ailleurs du même acabit.
Je joins un lien vers une interview du Dr Wakefield qui résume cette histoire lamentable pour Mr Brian Deer, l'équivalent du conseil de l'Ordre Français (GMC) et The lancet.
https://www.youtube.com/watch?v=9Z5qrZkmF8g
Chacun pourra comparer ces propos et ceux de Mme CMT...
Voici pour une décison de jutice (avec de vrais magistrats) en apppel concernant le Pr Walker-Smith co-accusé avec le Dr Wakefield pour cette étude publiée dans The Lancet:
Décision du 7 mars 2012 « For the reasons given above, both on general issues and the Lancet paper and in relation to individual children, the panel's overall conclusion that Professor Walker-Smith was guilty of serious professional misconduct was flawed, in two respects: inadequate and superficial reasoning and, in a number of instances, a wrong conclusion
http://www.bailii.org/cgi-bin/markup.cgi?doc=/ew/cases/EWHC/Admin/2012/503.html&query=Walker-Smith+and+GMC&method=boolean
Par ailleurs votre ton est particulièrement déplaisant et est tout à fait au diapason de celui de l'AFIS ; vous trouvez même parfois que le responsable de ce Blog est trop sympathique et ne pratique pas assez la censure. Mais pour qui vous prenez vous !
A Chevallier
RépondreSupprimerSi vous prenez la peine d' apprendre par coeur tous mes commentaires je ne prendrai pas celle de rappelais que le jugement émus avait une portée très limitée et ne concernait justement pas Wakefield. Même si tous ses admirateurs ? Dont vous faites indubitablement parties' en sont saisi pour dire sue Wakefield était disculpé et que son étude était réhabilitée. Ce qui est simplement faux.
Voilà bien le type de discussion qui ne peut intéresser que les antivax et que je ne poursuivrait pas.
Je ne les apprends pas par coeur madame, ils n'en valent pas la peine : il s'agit juste d'un copié-collé.
RépondreSupprimerVous affirmez sans aucune preuve ; vous dites notamment qu'il n'a jamais porté plainte ; c'est faux :
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Wakefild-vs-BritMedJ.pdf.
Voilà du factuel !
Il a porté plainte depuis le Texas, où sa plainte n' était pas recevable et il a perdu cette plainte ainsi que 3 autres . https://www.google.fr/amp/s/leftbrainrightbrain.co.uk/2014/09/19/andrew-wakefield-loses-frivolous-defamation-lawsuit-to-pay-court-costs/amp/
RépondreSupprimerEnfin, peu importe. Wakefield a déjà bien trop fait parler de lui pour un banal escroc mythomane.
@CMT,
RépondreSupprimervous dites d'abord qu'il n'a "jamais porté plainte" puis vous trouvez encore une fois sur un site anonyme aux références imprécises ( PSIRAM ne vous sert donc pas de leçon...) qu'il a été débouté.
je vous ai fourni, madame, le jugement d'un tribunal anglais de 2012 qui a considéré que l'étude publié dans le Lancet en 1998 n'était pas frauduleuse, que le comportement du GMC (Conseil de l'Ordre anglais) était particulièrement répréhensible et qui a cassé la décision de celui-ci. Par conséquent Mr Wakefield n'est pas un fraudeur mais par contre vous êtes une diffamatrice.
Je passe sur les énormes conflits d'intérêt entre B Deer, F Godlee rédactrice en chef du BMJ, C Davis (propriétaire du Lancet et de Elsevier) et le laboratoire GSK.
La plainte de Wakefield concerne B Deer et le BMJ ; je n'ai pas trouvé l'issue de cette plainte mais l'article de votre site anonyme est très imprécis et on ne connait pas notamment le motif exact de l'appel.
Vous êtes décidément quelqu'un de mauvaise foi.
J' ai déjà lu et commenté le jugement dont vous parlez évoqué par Serge Rader et expliqué qu' il ne concernait pas Wakefield d' une part, et qu'il ne remettaiten rien en cause le caractere fraudueux de l' étude.
SupprimerTout cela fait partie du story telling dont le mouvement antivaxa besoin pour entretenir sa mythologie propre dont Wakefield est le Dieu , et ses délires. Comme je l' ai déjà dit , Wakefield est un escroc et je ne compte pas consacrer plus de temps à cet homme et à cette discussion
Madame,
RépondreSupprimerIl suffit de lire le document en anglais joint pour voir que le juge considère que l'étude n'est pas frauduleuse : je la remets ici et on peut aller à la conclusion qui est très claire pour ceux qui lisent l'anglais :
http://www.bailii.org/cgi-bin/markup.cgi?doc=/ew/cases/EWHC/Admin/2012/503.html&query=Walker-Smith+and+GMC&method=boolean
La procédure d'appel ne concerne que le Pr W Smith car le Dr Wakefield était aux états unis en 2012 et ne pouvait entamer cette procédure d'appel pour des raisons financières semble t'il. De toute façon il est claire que cette étude publiée en 1998 dans The Lancet n'est pas une fraude : donc point à la ligne!
Votre attitude est franchement du même acabit que celle du PSIRAM et de l'AFIS et s'apparente plutôt un "disque rayé" qui répète toujours la même chose.
Je voudrais finir par votre niveau de formation scientifique qui ne semble pas valoir grand chose au vu de vos articles qui ne sont qu'un empilement de notions que vous ne maitrisez manifestement pas.
Je vous conseille de vous former notamment à l'épidémiologie et aux techniques statistiques appliquées aux essais cliniques (le CESAM notamment à l'UPMC y pourvoit très bien),d'arrêter de vous prendre pour ce que vous n'êtes pas et de profiter du manque de formation de la plupart des internautes qui de toute façon ne peuvent vérifier vos dire pour la plupart d'entre eux.
A Chevalier
RépondreSupprimerVous passez votre temps à essayer de me provoquer sur mon niveau de formation scientifique et je me rends compte que vous êtes un troll, ni plus ni moins.
Quant au document que vous présentez, il concerne uniquement Walker Smith, comme c'est écrit dans l'intitulé et devait se prononcer sur le fait de savoir si sa radiation était justifiée du fait de manquements délibérés à l'éthique. C'était sur ce point que le GMC devait se prononcer et ses attributions n'allaient pas au-delà de ça. De ce point de vue il a annulé la radiation parce que le juge ne pouvait tout simplement pas savoir ce que Walker Simth pensait et n'était pas dans sa tête, s'il était conscient de frauder. C'est la présomption d'innoncence qui a donc prévalu et le jugment ne concerne en rien Wakefield.
Je mets la conclustion de votre document:cf suite
"186.For the reasons given above, both on general issues and the Lancet paper and in relation to individual children, the panel's overall conclusion that Professor Walker-Smith was guilty of serious professional misconduct was flawed, in two respects: inadequate and superficial reasoning and, in a number of instances, a wrong conclusion. Miss Glynn submits that the materials which I have been invited to consider would support many of the panel's critical findings; and that I can safely infer that, without saying so, it preferred the evidence of the GMC's experts, principally Professor Booth, to that given by Professor Walker-Smith and Dr. Murch and by Dr. Miller and Dr. Thomas. Even if it were permissible to perform such an exercise, which I doubt, it would not permit me to rescue the panel's findings. As I have explained, the medical records provide an equivocal answer to most of the questions which the panel had to decide. The panel had no alternative but to decide whether Professor Walker-Smith had told the truth to it and to his colleagues, contemporaneously. The GMC's approach to the fundamental issues in the case led it to believe that that was not necessary – an error from which many of the subsequent weaknesses in the panel's determination flowed. It had to decide what Professor Walker-Smith thought he was doing: if he believed he was undertaking research in the guise of clinical investigation and treatment, he deserved the finding that he had been guilty of serious professional misconduct and the sanction of erasure; if not, he did not, unless, perhaps, his actions fell outside the spectrum of that which would have been considered reasonable medical practice by an academic clinician. Its failure to address and decide that question is an error which goes to the root of its determination. "
RépondreSupprimerDonc, la question n'était pas de savoir si le contenu de l'étude était frauduleux, mais si Walker Smith savait qu'il faisait une recherche non autorisée en la faisant passer pour du suivi courant.
Veuillez ne plus vous adresser à moi. Je ne vous répondrai pas.
Votre niveau d'anglais n'est décidemment pas mieux que votre niveau scientifique. Voici donc le paragraphe 186 traduit avec l'aide de Google :
RépondreSupprimer186 - Pour les raisons susmentionnées, tant sur des questions générales que sur le document du Lancet et sur les enfants, la conclusion générale du Comité selon laquelle le professeur Walker-Smith était coupable d'une grave faute professionnelle était viciée à deux égards : raisonnement inadéquat et superficiel et, un certain nombre de cas, une conclusion fausse. Mlle Glynn soutient que les documents que j'ai été invitée à prendre en compte étayeraient bon nombre des conclusions critiques du Comité ; et je peux sans risque inférer que, sans le dire, il a préféré la preuve des experts du GMC, principalement le professeur Booth, à celle donnée par le professeur Walker-Smith et le Dr. Murch et par le Dr. Miller et Dr. Thomas. Même s'il était permis d'effectuer un tel exercice, ce dont je doute, cela ne me permettrait pas de sauver les conclusions du Comité. Comme je l'ai expliqué, les dossiers médicaux fournissent une réponse équivoque à la plupart des questions que le comité devait trancher. Le groupe n'avait d'autre choix que de décider si le professeur Walker-Smith avait dit la vérité à lui et à ses collègues, en même temps. L'approche du GMC à l'égard des questions fondamentales en l'espèce l'a amené à croire que cela n'était pas nécessaire - une erreur à partir de laquelle de nombreuses faiblesses subséquentes dans la conclusion du Comité d'experts ont coulé. Il devait décider ce que le professeur Walker-Smith pensait faire: s'il croyait entreprendre des recherches sous couvert d'investigation clinique et de traitement, il méritait de conclure qu'il avait commis une faute professionnelle grave et la sanction de la radiation ; sinon, il ne l'a pas fait, à moins que, peut-être, ses actions ne relèvent pas du spectre de ce qui aurait été considéré comme une pratique médicale raisonnable par un clinicien universitaire. Son incapacité à traiter et à trancher cette question est une erreur qui va à la racine de sa conclusion.
@CMT,
RépondreSupprimerVoici les charges présentées par le GMC au Comité d'expert de 2004 à 2010 :
Le 15 octobre 2004, le Comité médical général (MGC) a porté des accusations de faute professionnelle grave contre le D r Andrew Jeremy Wakefield, le professeur John Angus Walker-Smith et le professeur Simon Harry Murch à un comité d'aptitude professionnelle ( le comité)
21- Des groupes distincts d'accusations ont été déposés à l'égard de chacun des onze enfants du Lancet. Chacun présente un certain nombre de faits incontestés concernant l'admission de l'enfant et les enquêtes effectuées. Il y avait des différences mineures entre les faits d'importance marginale et les manquements à la tenue des dossiers qui ne pouvaient donner lieu à des conclusions d'inconduite, sans parler d'une faute professionnelle grave. Les charges significatives étaient les suivantes:
i) En ce qui concerne les onze enfants, le professeur Walker-Smith les a soumis à un programme d'enquête à des fins de recherche sans l'approbation du Comité d'éthique (soit parce que les enquêtes ont été menées avant que l'enfant ait été approuvé critères de sélection ou parce qu'ils ont été réalisés en violation des conditions d'approbation).
ii) En ce qui concerne tous les enfants sauf deux (6 et 7), il leur a fait subir une coloscopie, même si elle n'était pas cliniquement indiquée.
iii) En ce qui concerne sept des enfants (tous sauf 4, 6, 7 et 10), il leur a fait subir un repas de baryum et a suivi, bien que non cliniquement indiqué.
iv) En ce qui concerne trois des enfants (3, 9 et 10), il leur a fait subir une ponction lombaire non cliniquement indiquée.
v) En ce qui concerne les onze enfants, sa conduite était contraire à leurs intérêts cliniques.
Donc l'étude du Lancet a bien été "passé au peigne fin" par le GMC et il ne s'agissait pas de seulement d'évaluer les intentions du Dr Walker-Smith comme vous le dites.
L'étude était autorisée comme il est dit à plusieurs reprises dans ce jugement d'appel de 2012 mais certaines fautes ont été relevées imputables au Dr Wakefield concernant l'item i) et non qualifiées de grave par le juge.
Vous faites comme si il était acquis qu'il y avait fraude dans cette étude : où sont les preuves ? Sur le site du PSIRAM et de l'AFIS ?
Pour ce qui est des insultes je ne vous suivrai pas car avec l'AFIS c'est un domaine que vous maîtrisez mieux que moi.