Relire les articles solides, pédagogiques et documentés de Jean-Philippe Rivière sur le site Vidal et sur le site Doctissimo sera notre conseil hommage : il écrivait bien.
Pour le voir "en vrai".
C'était un médecin à l'esprit fin, à l'intellect rapide, cultivé, il avait une très forte capacité de synthèse, c'était un grand vulgarisateur au sens noble : il rendait les choses faciles. Sa passion pour l'Inde et pour le jazz (et pour Jan Garbarek) ne le rendait pas moins sympathique.
Merci de lui rendre cet hommage. Je l'appréciais aussi par sa gentillesse et le niveau de sa réflexion. Il avait été visiblement déçu de s'apercevoir que tout le travail fait pour le rapport du comité d'orientation sur le dépistage du cancer du sein n'ait pas été pris en compte par ceux qui l'avaient demandé.
RépondreSupprimerJe mets le lien ici vers ce travail: http://www.concertation-depistage.fr/wp-content/uploads/2016/10/depistage-cancer-sein-rapport-concertation-sept-2016.pdf
https://twitter.com/MartinFierro769/status/790565391181512705
@ CMT
RépondreSupprimerQue le rapport du comité d'orientation sur le cancer du sein n'ait pas été pris en compte n'est pas étonnant. Quand on connait la biologie du cancer du sein et le pouvoir de détection de la mammographie, il n'est simplement pas possible que la détection ne se traduise pas par un bénéfice en terme de mortalité chez les femmes chez qui un cancer a été détecté. Tant que des épidémiologistes resteront accrochés à l'idée de cancers passant entre les mailles du filet et d'un taux énorme de surdiagnostic pour expliquer l'excès de cancers observé, ils ne convaincront pas les partisans du dépistage.