Troubles mentaux dus au Covid et Covid long : une étude britannique de novembre à décembre 2021
134 écoles et 4870 élèves. Enfants entre 4 et 11 ans et entre 11 et 18 ans.
Limitations : questionnaires remplis sur la base du volontariat.
Faibles effectifs ne permettant pas des analyses de sous-groupes..
Points principaux.
Since March 2020, 1.0% of primary school-aged pupils and 2.7% of secondary school-aged pupils met the Delphi criteria for having experienced long COVID lasting at least 12 weeks.
"Loss of taste or smell" was the only symptom group where the prevalence was significantly higher for those who had received a positive coronavirus (COVID-19) test since March 2020 than those who hadn't, for both primary and secondary school-aged pupils aged under 16 years.
Both primary and secondary school pupils who tested positive for COVID-19 showed no significant difference in the number presenting with a "probable mental disorder" compared with those without a positive test.
Primary school pupils with long COVID (under the Delphi criteria) were significantly more likely to have a probable mental disorder (30.0%) than those without long COVID (7.7%); the trend was similar for secondary school pupils (22.6% compared with 13.6%), but this is not statistically significant.
Une étude new-yorkaise sur la perte d'efficacité du Comirnaty chez les enfants.
Cet article est un pré-print.
Du 13/12/2021 au 30/01/2022
Parmi les 852,384 enfants (12-17 ans) et les 365,502 enfants (5 à 11 ans) tous complètement vaccinés, l'efficacité contre l'infection a décliné de 66% (95% CI: 64%, 67%) à 51% (95% CI: 48%, 54%) dans le premier groupe et de 68% (95% CI: 63%, 72%) à 12% (95% CI: 6%, 16%) dans le second groupe.
L'efficacité contre l'hospitalisation a diminué de 85% (95% CI: 63%, 95%) à 73% (95% CI: 53%, 87%) dans le premier groupe, et de 100% (95% CI: -189%, 100%) à 48% (95% CI: -12%, 75%) dans le second.
Mais les auteurs indiquent qu'en cette ère omicron le vaccin est toujours efficace contre ls formes sévères et, malgré la diminution de l'efficacité sur la contagiosité notamment dans le groupe 5-11 ans, la vaccination est toujours recommandée.
Les auteurs indiquent qu'il faudrait sans doute revoir le dosage et l'espacement des doses et soulignent qu'il ne faut pas abandonner les gestes barrières.
Une étude de l'INSERM indique une augmentation significative de la mortalité infantile en France depuis 2012 (et avant Covid)
Nous avons souvent parlé sur ce blog (
LA de cet indicateur de santé publique et de la place peu enviable de la France parmi les pays de l'OCDE (19ème sur 27).
C'est malheureusement officiel :
LA.
En comparant les données par rapport à d’autres pays européens à économie similaire tels que la Suède et la Finlande, on observe chaque année en France un excès d’environ 1200 décès d’enfants âgés de moins d’un an !
La disparition
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Il n'est pas difficile de trouver l'arme du crime. |
Une étude (pré print) qui analyse le risque de myocardite/péricardite chez les 12 - 17 ans après Comirnaty
Analyse faite pendant la période delta.
Sur le critère hospitalisation.
L'incidence de la myopie/péricardite chez les garçons âgés de 12 à 15 ans et de 16 à 17 ans était respectivement de 162,2 et 93 par million.
Les auteurs indiquent que la vaccination deux doses présente une balance bénéfices/risques favorable chez les filles de 12 à 17 ans, non immunisées et présentant des comorbidités.
Chez les garçons déjà immunisés et sans comorbidités la balance bénéfices/risques, même pour une dose est défavorable. En période omicron une dose chez les non immunisés procure une protection non améliorée par la deuxième dose.
A suivre.
La chirurgie arthroscopique pour genou dégénératif n'a pas plus d'efficacité qu'un placebo selon Cochrane.
Sur des critères de douleurs et de fonctionnalité.
Méta-analyse chirurgie vs fausse chirurgie ou pas de chirurgie.
L'actualité était trop importante cette semaine : j'ai zappé plein de trucs. A la prochaine.
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