La discussion sur X
L’essentiel des résultats à retenir selon Santé Publique France
- La prévalence de l’affection post-COVID-19 (définition OMS) est estimée à 4 % en population générale adulte (correspondant à 2,06 millions de personnes).
- 1,2 % des personnes interrogées déclarent un impact fort ou très fort sur leurs activités quotidiennes.
- 7,1% des participants ont déclaré avoir été atteints de COVID long lorsque qu’on leur posait la question (COVID long rapporté).
- Parmi les 48% de personnes ayant eu une infection par le SARS-CoV-2 depuis plus de trois mois, 8% présentaient les critères d’une affection post-COVID-19.
- La prévalence était plus élevée chez les femmes (10,2%), chez les personnes en recherche d’emploi (14,9%) et chez les sujets ayant été hospitalisés pour COVID-19 (18,6%).
- 21,3% des personnes rapportant une affection post-COVID-19 ont été infectés à l’occasion de la vague du variant Delta et 53,2% lors des vagues de variants Omicron.
Quelques réflexions sur la discussion sur X :
- Il se semble pas que chaque MG reçoive en moyenne 40 patients/patientes souffrant de Covid Long comme l'affirme, en extrapolant, Santé Publique France
- Des patients/patientes souffrant de Covid Long affirment qu'iels ne vont plus consulter les MG car ceux-ci, pour résumer, ne les prennent pas en considération, n'y connaissent rien en termes de littérature sur le Covid Long et/ou en termes de traitements et les prennent pour des "C'est dans la tête".
- On reproche donc généralement aux médecins de n'être pas au fait des dernières hypothèses étiopathologiques sur la maladie. Hypothèses qui, comme au début de l'apparition de la pandémie aiguë de Covid, couvrent tout le champ de la médecine.
- Mais aussi de ne pas faire de bibliographie.
- Mais aussi de ne pas être au courant des derniers traitements (il faut savoir qu'aucun traitement actuellement n'a fait la preuve de son efficacité dans le traitement des covid longs lors d'essais contrôlés)
- Des patients/patientes souffrant de Covid Long se plaignent également de ne pas recevoir assez de traitements symptomatiques.
- Des patients/patientes souffrant de Covid Long pensent qu'il existe des spécialistes de la maladie qui, eux, savent prendre en charge et traiter dans certains hôpitaux.
- Des patients/patientes souffrant de Covid Long disent qu'à l'étranger, c'est mieux.
- Il existe donc une grande souffrance des patients/patientes souffrant de Covid Long sévères et qui ne sont pas soulagés.
- Il existe donc une grande souffrance des patients/patientes souffrant de Covid Long légers à modérés qui ne sont pas soulagés et qui ont même cessé de consulter.
- Que faire ? Des patients/patientes souffrant de Covid Long citent un certain nombre de traitements, pour l'instant symptomatiques qui ne sont pistous anodins, en parlant d'anti-histaminiques, de rivotril ou d'abilify.
- Des patients/patientes souffrant de Covid Long ne supportent pas que des médecins leur disent qu'il n'y a pas, actuellement, de traitement validé, ne supportent pas que des médecins ne leur prescrivent pas des médicaments hors AMM, que des médecins nient le Covid long.
- Certain.e.s patients/patientes vont même jusqu'à comparer le Covid long au sida ! Ou aux VSS (violences sexistes et sexuelles)
- Il est donc nécessaire de mener des études épidémiologistes plus précises en France et bien que des études de ce type existent déjà dans d'autres pays avec des résultats pour le moins divergents.
- Enfin, des patients/patientes souffrant de Covid Long, reprochent à certains médecins de ne pas faire assez preuve d'empirisme vis à vis des déclarations des souffrants, d'être trop critiques l'égard des publications de mauvaise qualité (c'est pourtant notre job) et de tenter de nous en tenir aux preuves.
- La discussion est toujours ouverte.
Il y a 13 occurrences dans le blog sur le Covid long pour montrer que je ne me suis jamais désintéressé du sujet.
27 novembre 2023
309. Covid long : un rapport du COVARS qui ajoute du flou au flou.
Le COVARS (Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires) a publié un rapport qui fait le point sur le Covid long et même un peu plus (LA)
Je vous rappelle, avant tout commentaire, quelle est ma DPI (Déclaration publique d'intérêts) sur le point du Covid et du Covid long en particulier. Vacciné 4 fois selon les règles de l'art (c'est à dire selon les recommandations pifométriques des agences gouvernementales et de comités, réunions de médecins, sociétés savantes autoproclamées, ayant pignon sur rue, non sur les réseaux sociaux, dont le leitmotiv est "Vaccinons, vaccinons, il en restera bien quelque chose), j'ai attrapé le Covid au moins 3 fois, dont la dernière fois début août 2023, vous allez me dire, les grands spécialistes auto-proclamés de l'affaire, si j'ai aussi attrapé un Covid long. Je signale à tout hasard que j'ai porté avec constance le masque FFP2 jusqu'au mois d'août dans les transports en commun et que, désormais, je ne le porte que lorsque je suis dans le métro dans une ambiance très confinée...
Quoi qu'il en soit, outre les syndromes pseudo grippaux qui ont accompagné les trois épisodes symptomatiques que j'ai subis, fièvre, céphalées, courbatures, j'ai identifié deux séquelles : une pseudo-engelure du quatrième orteil droit (dont les lésions cutanées et les symptômes ont complètement disparu) et un acrosyndrome volontiers déclenché par le froid et par les efforts (course à pied) des trois premiers orteils droits dont la fréquence de survenue et l'intensité ont diminué de façon considérable jusqu'à ne plus me gêner du tout.
Pas d'asthénie, pas de brouillard cérébral, à moins que les longcovidolâtres ne pensent que le fait de ne pas adhérer à 100 % au concept du Covid Long Maladie ne soit une façon d'être brouillardeux.
Une analyse de Stéphane Korsia-Meffre sur le rapport du COVARS dans le Vidal (ICI) est tout à fait pertinente car elle permet de soulever les problèmes que pose le Covid Long.
J'ai plusieurs fois sur ce blog (il suffit de taper covid long dans le moteur de recherche) fait preuve d'une prudence de sioux quant à la réalité du Covid long ou, plutôt, à sa spécificité, par rapport à d'autres séquelles post virales et bactériennes connues.
J'ajoute, car je suis mauvaise langue, que mes expériences passées de clinicien concernant l'hystérie, la tétanie (le nom a changé, pardon), la neuro-algo-dystrophie (le nom a changé, pardon), la fibromyalgie (le nom a changé, pardon), l'intolérance au gluten et le Lyme chronique m'ont, pardon encore , vacciné contre les associations de signes cliniques, les mécanismes physiopathologiques à la gomme et les médecins qui ont consacré leurs vies de charlatans à s'instaurer tsars des maladies précédentes.
Mes réticences n'ont donc pas changé.
Voici ce que j'écrivais le 25 septembre 2022 :
- Des personnes estimables, et je pèse mes mots, ne cessent de citer des études observationnelles, pas toujours cas-témoin, pour pousser en même temps des cris d'orfraie sur le poids des covid longs, sur le "vrai" problème de santé publique que cela représente et sur, ouvrez grand les yeux, la nécessité d'une prise en charge et y compris médicamenteuse
- Ce n'est pas bien (voyez, je sais faire de la morale à bon marché) de citer de telles études a) sans les avoir lues, b ) en n'en ayant lu que l'abstract, c) uniquement parce qu'elles vont dans le sens de croyances end) pour ne pas avoir à se dédire
- Je répète : il est possible que le covid long existe et, quelle que soit l'intensité initiale des symptômes mais, pour l'instant, il n'existe aucun marqueur spécifique de cette atteinte prolongée.
- Cela ne veut pas dire que les personnes malades qui se plaignent de symptômes prolongés attribués au Covid a) mentent, b) sont hypochondriaques, c) sont à adresser chez un psychiatre et/ou un psychologue... en l'état actuel de nos connaissances.
- Car l'absence de physiopathologie uniciste, l'absence de marqueurs tissulaires, l'absence de marqueurs biologiques, et l'absence ne signifie pas que l'on ne passe pas à côté de quelque chose, l'absence de traitements non et médicamenteux, toutes ces absences conduisent les personnes malades vers les spécialistes autoproclamés du Lyme, de la fibromyalgie et de l'intolérance au gluten.
et le 15 janvier 2023 :
- Un problème de définition : plus de 200 symptômes ont été identifiés avec des impacts multiples sur divers organes
- Un problème de causalité : on n'a pas encore retrouvé de lésions spécifiques liées au Covid
- Un problème de fréquence : dans le même article (ICI) les auteurs écrivent qu'il survient chez 10 % des patients ayant présenté une affection pulmonaire sévère due au Covid ; plus loin : l'incidence est estimée à 10-20 % des patients non hospitalisés ; plus loin : 50 à 70 % des patients hospitalisés et 10 à 12 % des vaccinés.
- Un problème d'essais cliniques de qualité et notamment des essais prospectifs.
- Un problème de prise en charge.
Es-ce que le rapport du COVARS a changé quelque chose ?
A voir.
Terminons par une provocation : il ne sera pas possible d'éradiquer le Covid sur la surface de la terre. Ceux qui écrivent maintenant, les nouveaux moralistes ou les nouveaux hygiénistes, qu'il aurait été possible de le faire dès janvier 2020 mentent.
Le 16 avril 2023
149. Covid long : un article analyse les critères retenus pour le définir : du grand n'importe quoi.
Le 2 avril 2023
127. Covid long : une étude norvégienne chez les enfants et les adolescents innocente le Sars-CoV-2.
Attention :
- C'est une étude prospective comparative (on en connaît les limitations)
- L'effectif d'enfants et d'adolescents est maigre (300 covid vs 85 non covid) mais apparemment suffisant pour l'analyse statistique a priori
- Le point majeur : à 6 mois 48,5 vs 47,1 % des covids et des non covids présentaient un syndrome post covid (Post Covid Condition) (non significatif)
- Le point secondaire : à 6 mois 14 vs 8,2 % des covids et des non covids présentaient un syndrome de fatigue post infectieuse (non significatif)
- Les enfants ne sont pas la meilleure cible à étudier.
Autres réflexions que j'adapte de Vinay Prasad (LA):
- Les études sur le covid long sans groupe contrôle ne servent à rien
- On ne pourra plus faire d'études avec des contrôles puisque tout le monde aura eu le covid
- Il est impératif de mener des études contrôlées sur les patients souffrant de covid long (dont des méthodes non pharmacologiques).
- Toute prise en charge non validée par des essais devrait être administrée avec précaution
Le 26 mars 2023
116. Covid long.
On veut des études !
On veut des marqueurs !
On veut des traces de virus !
On veut des études épidémiologiques prospectives !
Le 19 mars 2023
116. Covid long : les désinformateurs continuent
via @dlang57500 |
L'extrême-gauche sanitairement autoproclamé, pour montrer l'authenticité du Covid long (et ceux qui voudraient m'attaquer sur ce point peuvent relire ce que j'ai déjà écrit), cite le Financial Times, Fortune et Bloomberg : LA.
Que personne ne s'esclaffe.
Le 15 janvier 2023
14. La collection des études de très bas niveau de preuves continue sur le Covid long
Pour le covid long sur lequel j'ai déjà écrit ICI il existe 5 problèmes majeurs :
- Un problème de définition : plus de 200 symptômes ont été identifiés avec des impacts multiples sur divers organes
- Un problème de causalité : on n'a pas encore retrouvé de lésions spécifiques liées au Covid
- Un problème de fréquence : dans le même article (ICI) les auteurs écrivent qu'il survient chez 10 % des patients ayant présenté une affection pulmonaire sévère due au Covid ; plus loin : l'incidence est estimée à 10-20 % des patients non hospitalisés ; plus loin : 50 à 70 % des patients hospitalisés et 10 à 12 % des vaccinés.
- Un problème d'essais cliniques de qualité et notamment des essais prospectifs.
- Un problème de prise en charge.
Un article en forme d'éditorial publié sous l'égide de l'université du Minnesota (LA) est lui-aussi très critique sur les résultats de l'article israélien.
Qu'allons-nous devenir ?
Le 6 novembre 2022
8. Covid Long : le club des CovidsLongs fait feu de tout bois.
- Il y a de plus en plus de patients présentant des Covid longs (le club des FearMongers est mobilisé pour l'occasion)
- Il y a de plus en plus de publications (non françaises, on rappelle ici pour les ignorants que la France se place au 48° rang mondial pour le nombre de publications biomédicales mais c'est dû au manque d'argent alors que la majorité des études biomédicales sont financées par l'industrie pharmaceutique qui doit trouver que c'est parce que les médecins français n'ont pas d'argent qu'ils n'ont pas de cerveau...) ce qui montre que la maladie existe (le fameux saut qualitatif que les marxiens de l'extrême-gauche ne manqueront pas de rappeler)
- La France est, comme toujours, à la traîne.
- Il y a une perte de chance puisque les patients ne sont pas pris en charge ou considérés comme psychosomatiques...
- On attend autre chose que des études au doigt mouillé ou sur un coin de table mais plus les études annoncent des covid longs, plus les LongsCovids trépignent
- Le nombre de publications ne signifie pas a) que l'on avance, b) que les données scientifiques sont de qualité, c) que la non-découverte d'un mécanisme physiopathologique commun soit la preuve qu'il y en a un
- C'est la haine de soi bien classique
- Il n'y a pas de traitement mais une prise en charge empathique serait effectivement la bienvenue.
- Un pré print (ICI) du premier novembre 2022 annonce que la prescription pendant 5 jours de Nirmatrelvir (une des composantes du paxlovid) vs rien (étude épidémiologique cas-témoin non randomisée) chez des patients covid présentant au moins un facteur de risque pouvant entraîner une maladie sévère réduisait les syndromes post SARS-CoV-2 à 90 jours quel que soit le statut vaccinal (non,vacciné, vacciné, boosté) en cas de primo infection ou de réinfection.
- A suivre.
Le 25 septembre 2022
Covid long : j'en remets une couche.
- Des personnes estimables, et je pèse mes mots, ne cessent de citer des études observationnelles, pas toujours cas-témoin, pour pousser en même temps des cris d'orfraie sur le poids des covid longs, sur le "vrai" problème de santé publique que cela représente et sur, ouvrez grand les yeux, la nécessité d'une prise en charge et y compris médicamenteuse
- Ce n'est pas bien (voyez, je sais faire de la morale à bon marché) de citer de telles études a) sans les avoir lues, b ) en n'en ayant lu que l'abstract, c) uniquement parce qu'elles vont dans le sens de croyances end) pour ne pas avoir à se dédire
- Je répète : il est possible que le covid long existe et, quelle que soit l'intensité initiale des symptômes mais, pour l'instant, il n'existe aucun marqueur spécifique de cette atteinte prolongée.
- Cela ne veut pas dire que les personnes malades qui se plaignent de symptômes prolongés attribués au Covid a) mentent, b) sont hypochondriaques, c) sont à adresser chez un psychiatre et/ou un psychologue... en l'état actuel de nos connaissances.
- Car l'absence de physiopathologie uniciste, l'absence de marqueurs tissulaires, l'absence de marqueurs biologiques, et l'absence ne signifie pas que l'on ne passe pas à côté de quelque chose, l'absence de traitements non et médicamenteux, toutes ces absences conduisent les personnes malades vers les spécialistes autoproclamés du Lyme, de la fibromyalgie et de l'intolérance au gluten.
Cette infographie montrant la prise en charge du Covid long explique mon propos |
Le 5 juin 2022
Le Covid long, ou nouveau Syndrome Post Infectieux : juste "organique" ?
L'excellent Stéphane Korsia-Meffre a écrit un commentaire passionnant sur le Covid long (ICI) à partir d'un article paru dans Nature Medicine (LA).
Choutka et al. suggèrent que tous (ou presque) les SPI auraient une étiopathogénie commune, qu'ils s'inscrivent partiellement ou totalement dans le cadre d'une entité appelée encéphalopathie myalgique ou syndrome de fatigue chronique et qu'il s'agirait d'une nouvelle maladie auto-immune. Les auteurs envisagent différentes hypothèses étiopathogéniques : réservoir infectieux, auto-immunité, dysbiose et dommages tissulaires.
Ils suggèrent également que des recherches biomédicales soient menées de façon sérieuse pour élucider ce mystère et trouver un traitement.
Comment pourrait-on penser le contraire ?
Les patients souffrant d'un SPI post Covid ont besoin d'écoute et de reconnaissance. Ils ont besoin d'aller voir des soignants qui ne leur disent pas "Tout ça, c'est dans la tête" ou "De toute façon cela va s'arranger... On ne peut rien faire..."
Il nous semble encore plus dangereux que ces patients rencontrent des soignants qui leur disent qu'il existe d'ores et déjà des molécules qui pourraient les soulager, voire les soigner. On pense bien entendu aux cocktails médicamenteux associant : antalgiques de paliers 1 et/ou 2, antidépresseurs, anxiolytiques, anti-épileptiques, décontracturants, et autres...
Primum non nocere. Informer.
Mais il sera difficile de penser que les interactions entre les SPI et les mesures barrières (indispensables, mais on peut discuter sur leurs modalités, leur rigueur, leur momentum...) qui ont été mises en place un peu partout dans le monde n'ont pas d'influences sur la perception des SPI, sur la dépression et sur l'anxiété des populations depuis deux ans et demi.
Le 29 mai 2022
Le Covid long suscite des recherches.
@kunstjonas |
le 18 avril 2022
Covid long : une étude de cohorte ouverte mal fichue et inquiétante qui fait partie de la désinformation des Faiseurs de Peur.
Le Covid long (...) toucherait près de la moitié des personnes ayant développé le Covid.
... qu'environ 10 % des personnes ayant présenté un syndrome respiratoire sévère dû au covid ont présenté un Covid long...
Le 6 mars 2022
Troubles mentaux dus au Covid et Covid long : une étude britannique de novembre à décembre 2021
Since March 2020, 1.0% of primary school-aged pupils and 2.7% of secondary school-aged pupils met the Delphi criteria for having experienced long COVID lasting at least 12 weeks.
"Loss of taste or smell" was the only symptom group where the prevalence was significantly higher for those who had received a positive coronavirus (COVID-19) test since March 2020 than those who hadn't, for both primary and secondary school-aged pupils aged under 16 years.
Both primary and secondary school pupils who tested positive for COVID-19 showed no significant difference in the number presenting with a "probable mental disorder" compared with those without a positive test.
Primary school pupils with long COVID (under the Delphi criteria) were significantly more likely to have a probable mental disorder (30.0%) than those without long COVID (7.7%); the trend was similar for secondary school pupils (22.6% compared with 13.6%), but this is not statistically significant.
Le 6 avril 2022
Covid long
• The most common ‘long COVID’ symptoms were fatigue, loss of smell and loss of taste, dizziness, muscle weakness, chest pain and respiratory problems.
• These ‘long COVID’ symptoms cannot be assigned to psychological sequelae of social restrictions.
• Symptoms such as concentration difficulties, headache, muscle- and joint pain as well as nausea are not ‘long COVID’ symptoms.
• In most cases ‘long COVID’ symptoms resolve within 1-5 months.
Je n'arrive pas à comprendre pourquoi on utilise le terme de Covid long. En théorie, il y a 3 possibilités : séquelles de Covid, infection chronique, et maladie auto-immune post-Covid. Le traitement de ces affections doit être distinct.
RépondreSupprimerSémiologie, nosologie, étiopathogénie, physiopathologie, traitements.
RépondreSupprimerC'est un des points de la réflexion : les patients sont à juste titre impatients, souffrant, et, en l'absence de certitudes, ils s'accrochent au moindre espoir.
Ce qui est tout à fait humain et désespérant.