dimanche 19 mars 2023

Bilan médical du lundi 13 au dimanche 19 mars 2023 : fluoroquinolones, médicalisation du corps des femmes, méta-analyses, corruption, covid long, AME, auriculothérapie, sages-femmes et homéopathie, psychiatrie et psychiatres.


 

109. Les fluoroquinolones : ne pas prescrire en première intention dans les infections urinaires, les bronchites aiguës et les sinusites.

Philippe Coville dénonce l'utilisation open bar des fluoroquinolones (LA).

Scandale pour un certain nombre de médecins dont les réactions sur twitter font frémir.

Voir mon fil sur twitter : LA.

Les réactions indignées de médecins (sur twitter mais c'est ailleurs la même chose, "Je fais ce que je veux quand je veux car je suis le meilleur à 25 comme à 50 balles") à propos de la sur prescription des fluoroquinolones : hors AMM, hors primum non nocere, hors écologie bactérienne, hors tout bon sens commun, hors intérêt des patients, hors prise en compte des potentiels événements indésirables, hors liens d'intérêts, montrent leur porosité intellectuelle (à condition bien entendu qu'un cerveau ait été détecté) avec les ex prescripteurs de mediator qui coulent des jours heureux dans le déni et qui sont déjà, entre 2 régimes alakhon, des prescripteurs d'ozempic, avec les prescripteurs du cocktail ivermectine, azithromycine, zinc et autres fariboles dans le traitement précoce du Covid, et si vous voulez qu'on rajoute les prescripteurs de troisième ligne de chimiothérapie... ... pour des malades pesant 42 kilos et demi, sans oublier ta ta ta et ta ta ta... Donc, la sur prescription de fluoroquinolones dans des indications futiles et les réactions franchement débiles des médecins qui ont le droit de tout prescrire car ils sont médecins, parce que je le vaux bien, et les stenteurs de patients asymptomatiques ou les paiements en liquide dans les cliniques bcbg du 8° arrondissement de Paris montrent l'étendue du désastre de la santé publique, l'absence d'éthique, et expliquent comment les espèces menacées disparaissent au profit de vrais prédateurs : par pure khonnerie. rappelons ceci : même si les recommandations sont remplies de conflits d'intérêts, il vaut mieux les suivre que de faire n'importe quoi. PS : un certain nombre de soignants (et malheureusement aussi de soignés) pensent que critiquer les fluoroquinolones en cas de mésusage c'est critiquer l'antibiothérapie : ils s'enfoncent dans leur khonnerie.

Aux USA les fluoroquinolones sont aussi "trop" prescrites. Une étude (rétrospective (ICI), analyse les effets sur leurs prescriptions communautaires après que la FDA a mentionné un avertissement sur les boîtes concernant l'utilisation de cette classe pharmacologique dans trois indications : infections urinaires, bronchites aiguës et sinusites. Il ne s'est rien passé.

En Europe, selon l'EMA, 66 % des prescriptions de fluoroquinolones sont faites hors AMM.

Les articles de blog de février (ICI) et novembre 2008 (LA) en parlaient. Mais que faire quand les médecins n'écoutent pas la FDA ?

Une réflexion débile sur twitter : 




110. Le désinformateur en chef : 


Voici l'argumentation de ce crétin : 

  • Il était possible que le Covid ne tue personne (même avant le vaccin)
  • Il était possible que le Covid ne tue personne (avec des masques en tissu)
  • Il était possible que le Covid ne tue personne (avec des masques chirurgicaux bien portés)
  • Il était possible que le Covid ne tue personne (avec un confinement généralisé)
  • Il était possible que le Covid ne tue personne (avec des masques FFP2 bien portés)
  • Il était possible que le Covid ne tue personne (avec la vaccination)


111. L'employée de la Macronie de la semaine : Stéphanie Rist 

@stephanie_rist

Stéphanie Rist est l'autrice de la loi du même nom qui a fait descendre plusieurs milliers de médecins dans la rue. Ici, elle pose en doctoresse.


112. Médicalisation du corps des femmes


La médicalisation de la santé est une donnée forte de la société moderne.

Le corps des femmes est un objet de préoccupation majeur en médecine.

Ce sujet a déjà été débattu cent fois.

Ma position d'homme rend mon discours a priori, ontologiquement, inapproprié.

La médicalisation du corps des femmes est une pratique masculiniste. C'est dit.

On peut dire plus précisément ceci : la médicalisation de la santé des femmes (donc de leur corps) fait partie du pouvoir patriarcal.

A suivre.


113. Les méta-analyses peuvent aussi être de la daube

Comprenons bien, nous l'avons développé cent fois ici, les méta-analyses ne sont au sommet de la pyramide des preuves que si le contenu des études retenues ou non retenues (sans oublier bien entendu les études de qualité non publiées) est analysé avec équipoise.

La lecture de cet article (LA) démontre, me semble-t-il, que les méta-analyses, sauf dans les cas où il n'est pas besoin d'en faire (une ou deux études contrôlées de qualité qui prouvent que telle prise en charge, médicamenteuse ou non, est efficace par rapport à une autre façon de faire) sont plus faciles à manipuler, je veux dire les conclusions, que des études uniques...



Lance Reddick : 1962 - 2023


114. Le conseil de l'ordre britannique investit et ce n'est pas beau.


Un article raconte comment l'équivalent du conseil de l'ordre français investit dans des firmes qui ne vont pas dans le sens de la santé publique (Nestlé, Mac Do, Coca-cola, Pepsico, Starbucks) ou dans des laboratoires pharmaceutiques (Abbott, Merck et Roche par exemple) ou dans des fabricants de matériel (Medtronic, Davinci), bref des sociétés dont l'argent pourrait changer quelque chose aux choix des médecins et aux dirigeants du General Medical Council : LA. . 

Auteur ignoré.


115. Les cadeaux de l'industrie n'influencent pas les médecins (trouze mille épisodes) disent les médecins honorés.

Le formindep remet le couvert en citant un rapport de la HAS (LA).

L'argument le plus pété que je lis sous la plume ou dans le discours de certains médecins est le suivant : "J'ai accepté un stylo bille du laboratoire Duchmol, comment cela pourrait-il m'influencer ?" Je ne leur réponds jamais ceci (ils ne comprendraient pas mais pourraient m'enfoncer la pointe du stylo dans un de mes yeux) : "Si vous n'avez pas les moyens de refuser un stylo bille où est écrit Izilox il faut changer de métier ou de comptable.

Douglas R. Gilbert, Bob Dylan and Allen Ginsberg, 1964… Via @RPanh


116. Covid long : les désinformateurs continuent


via @dlang57500

L'extrême-gauche sanitairement autoproclamé, pour montrer l'authenticité du Covid long (et ceux qui voudraient m'attaquer sur ce point peuvent relire ce que j'ai déjà écrit), cite le Financial Times, Fortune et Bloomberg : LA.

Que personne ne s'esclaffe.


117. Suppression de l'AME : Françoise Dumont est l'employée de la semaine de Marine Le Pen

Françoise Dumont s'en vante.


ICI

Une polémique est apparue sur twitter sur qui était le plus contre la suppression de l'AME. La vraie gauche ou la fausse gauche.

Ainsi me suis-je fait une nouvelle amie : 


118. Une nouvelle amie.



Ajouter une légende de santé publique.


119. Auriculothérapie : les oncologues toujours en pointe 





Les oncologues et leurs institutions qui sont à la pointe de la corruption généralisée par l'industrie pharmaceutique (l'oncologie est la première source de cash pour l'industrie) et à la pointe des études biaisées par des erreurs méthodologiques majeures et par des critères d'efficacité controversés et peu fiables (les fameux critères de substitution devenus des gold standard pour les agences gouvernementales) abandonnant les deux critères majeurs d'efficacité à savoir la mortalité globale et la qualité de Vie, continuent sur la voie du charlatanisme.


MG accompagnant un MG sur la route du déconventionnement


120. Homéopathie : les sages-femmes aussi

Selon Biba (journal scientifique lu par les oncologues et les sages-femmes) 78 % des sages-femmes libérales prescrivent de l'homéopathie. Une des réponses : les médecins aussi.

Que dire d'autre ?


Félix Vallotton. Chemin ensoleillé (1914).


121. Attaque frontale contre les psychiatres et la fonctionnalité.

Pas le temps de répondre.

Avec le lien : ICI



122. Les psychiatres sponsorisés par la sérotonine défendent la sérotonine dans The Guardian

Tous les psychiatres cités dans cet article (LA), sauf J Moncrieff, sont sponsorisés, voire, pour l'un, salarié de Lundbeck.


4 commentaires:

Olive verte a dit…

Merci pour vos réflexions.
Remarques peut-être hors sujet d'un patient étonné et énervé, pas par vous, plutôt par les enchaînements qui ont conduit à ces situations.
Car plusieurs de ces thèmes sont je crois des matrices d'une bonne partie des dévoiements en sciences médicales.
Les antibiotiques ? Magnifique, indispensable et salvatrice découverte? Ca a contribué aussi je pense à appauvrir la pensée en sciences médicales. Sur l'usage des antibiotiques eux mêmes comme vous le relatez ici en médecine et dans d'autres contextes en élévage (ça s'est amélioré de ce côté là paraît il, heureusement, les quantités que j'avais pu apercevoir paraissaient astronomiques).
Mais aussi et surtout en nourrissant l'idée, la légende, le mythe d'un médicament tout puissant salvateur existant ou encore à trouver quelle que soit la pathologie.
Ca contribue à ce que des anticholestérols soient encore distribués malgré l'hallucinante litanie des effets secondaires : des diabètes de type 2, vrais facteurs de risques cardiovasculaires, aux pseudo SLA, dépressions, a minima cancer du colon et quelques dizaines d'autres pathologies.
Si des médecins, fussent-ils cardios et plus ouverts à l'EBM que la moyenne, qui lisent ça n'y croient pas qu'ils s'arrêtent de consulter ou a minima d'en prescrire dans la seconde et qu'ils se fassent toute la biblio disponible.

Etudes après études, suivi après suivi, études épidémio après études épidémio (ah la mortalité bien plus élevée chez les populations qui ont un LdL bas que chez celles qui ont un LdL élevé ...) sans la moindre démonstration probante, en RRA, qu'une molécule anticholestérol peut servir à un quelconque patient, fut-il caractérisé par une hypercholestérolémie familiale, hétérozygote ou homozygote, et/ou après un ou plusieurs infarctus/AVC et quelques soient les autres facteurs de risque.

Ou ce mythe contribue à une simple surprecription massive de médicaments contre l'hypertension, associés à des risques cardio-vasculaires accrus. Apparemment ce sont les traitements beaucoup plus que l'hypertension qui y sont associés (Hazard ratio (95 % CI) ; Pression artérielle : 1,011 ; médicaments hypertenseurs : 1,34) dans une étude sur les facteurs de risque cardiovasculaires pour laquelle je n'ai hélas pas accès à la totalité. Surrisque par diminution trop forte de pression diastolique notamment chez des patients à sténose (et irrigation insuffisante du muscle cardiaque, cf. de Lorgeril) ? Autre ?
Ou à enchaîner encore et encore aspirine et IPP systématiques, non mais ça va pas bien la tête, vous (les cardios prescripteurs) savez lire et compter ou bien ?
La cardio, pour la partie médicamenteuse et la diabétologie (pour les diabètes de type 2 surtout), elles-mêmes influencées par ces mythes de médicaments miracle ainsi que par une infiltration massive de l'industrie pharmaceutique ont je crois préparé le terrain à l'oncologie pour l'utilisation massive d'études et de chiffres complètement foireux, tout de même massive dans ces deux mondes.
C'est de mon point de vue de patient qui a régulièrement besoin d'un médecin à la fois dramatique mais peut-être aussi prometteur, il y a tellement de noeuds que si on tire un fil dans n'importe quelle spécialité on peut remonter loin dans les études et pratiques mal validées scientifiquement.

Il y a au moins autant de causes de dysfonctionnements si ce n'est plus sur la recherche médicale sur le corps féminin et la grande liste de maladies surtout féminines peu investiguées ou niées car mal comprises - pour le coup je vous mets un petit peu dans le lot aussi pour les parties maladies reconnues ou non et aussi pour les pistes de recherche sur les thérapies possibles - mais ça serait trop long, j'espère y repenser dans un autre commentaire.

Olive verte a dit…

Toujours de mon point de vue de patient, je vois les sciences médicales comme un ensemble de poupées russes emboitées et très intriquées. Quand une est déséquilibrée, l'ensemble l'est.
- l'EBM appliquée dans le cadre de la consultation. C'est surtout là que vous, des médecins blogueurs, d'autres, essayez d'informer et d'améliorer la situation. Mais il y a du boulot. ça suppose que les autres étapes amont aient été respectées
- l'épidémiologie d'intervention, essai clinique double aveugle randomisé ds l'idéal (pour une molécule) ou l'essai clinique randomisé (pour une modification de mode de vie) avec accompagnement pour appropriation de cette modif. La nécessité d'une hypothèse primaire claire, chiffrée, non composite, de préférence indiscutable et vérifiable (ex : mortalité totale), d'un calcul en valeur absolue, avec données brutes disponibles et indépendance totale du sponsor rend tout oubli plus que suspect.
- l'épidémiologie d'intervention pour une à quelques personnes. Les + grandes découvertes de traitement sont nées de là. Les phases plus précises, essais cliniques, etc. sont des confirmations de l'hypothèse.
- l'épidémiologie d'observation. Elle nécessite les deux autres étapes pr être vérifiée mais elle vient en amont. Permet de générer les hypothèses à tester ou d'en contrer d'autres.
- la connaissance des entités cliniques. Des plus rares (des médecins qui loupent pendant des mois une sclérodermie en coup de sabre c'est inquiétant je pense) au plus communes (des médecins qui nient la fibromyalgie idem). Ca permet de sécuriser l'observation, la recherche et l'intervention dans les autres étape.

Olive verte a dit…

A chaque étape (message précédent) un des défauts majeurs est de cacher la poussière sous le tapis. La fibromyalgie n'a pas de définition claire ou de cause biologique connue ? Chercher au lieu de nier permet, peut-être, de voir que les souffrances sont réelles, hyper handicapantes parfois, que ça s'inscrit dans un ensemble hyper mal défini mais réel de fibromyalgie, ehlers-danlos pas toujours typique mais clair le plus souvent, fatigue chronique peut être aussi, autre à voir. Ce n'est pas vérifié dans les données existantes ? Parce que cette étape là de simple observation avec acceptation de la parole du patient, patiente le plus souvent, n'est pas respectée. Vieille tradition que de ne pas croire les patientes.

Ce qui ne permet pas d'entamer ensuite des recherches sur de bonnes bases. Une étape dévoyée ici par arrogance flingue toutes les autres.
Ca laisse des patient(e)s avec Ehlers-danlos dans la panade en cas d'intervention chirurgicale (risques hémorragiques importants), de psychothérapies ou traitements assomants inutiles car la cause est physique, de risques dans les manipulations des vertèbres cervicales dans le parcours de soin classique comme alternatif, etc.

Autres poussières cachées sous le tapis. Les hypothèses qui étaient en cours sur les maladies cardio-vasculaires avant qu'elles soient balayées par les théories du cholestérol. Qui à part dans les premières études genre 4S, celles qui ne trouvaient aps d'effets secondaires (ex : augmentation massive des diabètes de type 2, vrai facteur de risque) et jamais confirmées par les études plus récentes, n'a jamais été validée ni en intervention ni en observation. La mortalité augmente quand le LdL baisse, pas l'inverse. Ca voile l'impact négatif des antihypertenseurs sur la mortalité, celui des IPP sur prescrits, le rôle majeur des paramètres sanguins de la coagulation, du mode de vie, etc.

Sur un même modèle d'épidémiologie d'intervention dévoyée ça entraîne des médecins y compris blogueurs, pourtant critiques, à ne pas voir les défauts de base initiaux, massifs, des essais cliniques vaccins covid, rendant toute interprétation ultérieure impossible. D'où les commentaires tendus ici ou ailleurs, il y a trop de trous dans la raquette dans les données disponibles et aucune certitude.

Olive verte a dit…

Je monopolise et m'énerve tout seul tant pis :) je m'arrête ici, re merci de laisser ces espaces ouverts. Ce sont en partie les commentaires pr / contre vaccins qui me font réagir. Par le biais d'autres exemples ou des étapes mal conduites conduisent également à faire dériver les phases de recherche et les prescriptions ensuite.

Ex : la diabétologie, mère de bien des dérives.

Je suis Dt1 depuis 1980 et ai absolument besoin de diabétos. J'ai le + souvent confiance pour les aspects diabète / insulinothérapie mais plus pour le reste.

Je croise pas mal de DT2. Maladie qui augmente en cas de pollution après ajustement des facteurs. Causalité ? Corrélation ? Impossible à tester mais les données semblent récurrentes. Et cachées sous le tapis. Maladie provoquée également par : les statines, de façon massive (qui n'ont jamais sauvé le moindre DT2 hormis dans l'essai Cards, tout pourrave, arrêté avant terme), par les IPP aussi, parfois par des diurétiques, des bétabloqueurs (mais les autres anti HTA ont d'autres effets secondaires pas top).

C'est donc une pathologie ou l'influence extérieure (médicaments, pollution) semble massive.

Je sors un instant du validé scientifiquement en termes alimentaires. Sautez ce passage si vous avez du mal. De façon empirique la proportion de patients qui ont réussi à retourner un dt2 avec une approche alimentaire Seignalet est forte. C'est cohérent avec le reste. Des molécules qui ne devraient pas mais passent dans la circulation générale perturbent la palanquée de réactions nécessaires à l'action de l'insuline. Supprimer ou limiter l'arrivée de ces molécules permet à nouveau une action efficace de l'insuline. Basique mais efficace. Pas de budget pour un essai randomisé large à ce sujet, ce serait une priorité pour confirmer ou infirmer ces résultats empiriques, où on est dans le plus de 75% de retour à la normale durable.

L'obésité est une autre cause. Domaine où la lutte contre la pauvreté et ses corollaires ainsi que des approches psychologiques efficaces (que de traumatismes dans les histoires d'obésité !), si elles existent, feraient bien plus de miracles que toutes les molécules possibles.

Bref d'une maladie à cause individuelle où on surtraite (pourtant : étude coréenne= Idéal à viser en moyenne, <1,6 g/l) avec moults effets secondaires on passe à une maladie où une proportion des cas est liée à des facteurs extérieurs sociaux, environnementaux, médicamenteux à corriger en priorité. Alimentaires aussi mais déjà les étapes précédentes seraient un progrès énorme.

C'est le même monde scientifique et médical qui vante les vaccins covid-19 sur la base de résultats en RRR et d'hypothèses primaires pas top. Pleins d'oppositions au vaccin sont délirantes et effrayantes, d'accord. Ca ne légitime pas un raisonnement biaisé, à oeillères, dans un contexte où beaucoup de raisonnements académiques le paraissent déjà, y compris dans une des pathologies les plus répandues comme le DT2.