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samedi 1 mai 2021

La médecine à l'estomac



1 - L'impudeur

Je découvre sur twitter la vidéo d'un réanimateur qui se laisse filmer au moment où il annonce à la famille d'un malade que leur parent est mort.

Je l'écoute et je le regarde et je me demande si je fais partie du même monde.

Je me demande comment on a pu en arriver là.

Je suis presque le seul.

Je lis des commentaires sur le caractère pédagogique de la démarche.

Je lis des commentaires sur l'exemplarité de la démarche : gnan, gnan, les mesures barrières, la vaccination, le gouvernement, bla bla.

Je lis des commentaires sur la bienveillance de la démarche.

Je lis des commentaires sur l'humanité des soignants.

Je reçois des messages privés (les intéressés se reconnaîtront) me disant combien ils sont choqués et comment ils n'osent pas réagir sur le réseau de peur de se faire assassiner.

J'essaie de qualifier cette vidéo : impudique ? sensationnelle ? putassière ? tragique ?

Un de mes correspondants privés, promis, juré, ce n'est pas moi qui l'ai pensé le premier, on me l'aurait reproché, me parle du kitsch kundérien. Je développe ?

C'est au delà de tout.

Cette semaine j'ai appris par téléphone, chez moi, le décès d'une de mes patientes qui m'a été annoncé par sa fille.

Avons-nous été filmés ?

Vais-je passer sur LCI ?

Dois-je faire un selfie avec le cercueil au milieu de l'église ?

Dois-je retrouver une vieille photographie de la patiente posant avec moi une veille de Noël ?

Vais-je publier, avec l'accord des familles, les photographies des trois personnes de ma patietèle qui sont mortes de la Covid ?

Milan Kundera : "Il ne s'agit pas de ressentir les émotions mais de les proclamer." Et encore : "Le sentiment n'est plus sentiment mais imitation du sentiment, son exhibition."




2 - La maladie est le salaire du péché ou le retour de l'hygiénisme

La stigmatisation des mauvais citoyens et des mauvaises citoyennes ne portant pas leurs masques quand il faut, où il faut, au bon endroit, sous le nez, sur le menton, jamais, la stigmatisation de ceux qui ne prennent pas de précautions, qui claquent la bise, qui se parlent en privé sans masque, nous fait revenir au bon vieux temps de l'hygiénisme quand la maladie était le salaire du péché.

Il est curieux et désespérant de constater qu'il semblait que des progrès avaient été accomplis sur la non stigmatisation des patients ne respectant pas les règles hygièno-diététiques dont les experts préventologues assuraient qu'elles avaient un effet sur la morbidité et la mortalité.

Les chiens sont lâchés. 

Après la Covid on pourra dire sans sourciller que les dépendants à l'éthanol qui meurent de cirrhose, ils l'ont bien mérité, que les dépendants au tabac qui meurent d'un cancer du poumon ou d'une maladie cardiovasculaire, ils l'ont bien mérité, que les consommateurs d'héroïne qui meurent d'une overdose, ils l'ont bien mérité... Je continue ?

"Ce n'est pas pareil." 

J'avais oublié cet argument.






3 - Le retour de la posture morale de la médecine

L'indignation des citoyennes et des citoyens qui ont pris toutes leurs précautions et qui pourtant ont attrapé la maladie s'étale partout sur les médias traditionnels comme sur les réseaux sociaux. Cette indignation morale stigmatise les coupables, c'est à dire à les citoyennes et les citoyens qui n'ont pas pris toutes leurs précautions par égoïsme, par manque d'altruisme, par incivisme, par folie.

Si tout le monde avait suivi les recommandations de la science, "on n'en serait pas là". 

Mais cela va plus loin : "on" s'étonne que les "bons", voir plus haut, ne trouvent pas de place dans les services de réanimation à cause des mauvais et certains s'interrogent, au second degré bien entendu, sur la légitimité des "déviants" à être soignés. 

Rien que ça.

Des médecins, j'ai des copies d'écran pour les services de répression de l'immoralité, voudraient que les personnes qui portent mal ou qui ne portent pas de masques dans la rue soient matraqués par la police de Gérald Darmanin... Des médecins se demandent si les covidiens méritent leurs médecins (il sauraient pu parler de covidaïques de sinistre mémoire)...

Chaque fois que la médecine fait de la morale elle se trompe de sujet.

Nombre de soignants et de citoyens modèles attribuent même, j'ai lu cela, toutes les morts de la Covid au président Macron et rattachent même cela au numerus clausus promulgué en... 1971 Comme si, autour de nous, en Belgique, en Allemagne, en Espagne, et cetera pour nos pays limitrophes (vous remarquerez que je n'ai pas cité le Brésil qui est aussi un pays limitrophe), il n'y avait pas eu de morts...

Et alors, quand la mort touche des jeunes, des sans facteurs de risque, des femmes enceintes, il faut trouver des coupables, outre le gouvernement Macron, et démontrer quand même que la maladie est le salaire du péché. Si des soignants meurent en soignant des patients et des patientes atteintes de Covid, si des enfants, des maigres, des naïfs, des sans traitement, sont touchés et/ou meurent, c'est en raison de l'immoralité de ceux qui ne respectent pas les mesures-barrières, qui ne souhaitent pas se faire vacciner,  qui se moquent des anciens, qui veulent vivre leur vie sans contraintes, qui privilégient l'économie à la santé.

Cela rappelle furieusement ce que l'on entendait à propos du sida...



4 - Le retour des scientistes.

Jamais les scientistes ne se sont sentis aussi à l'aise pour donner des leçons.

Ils ont joué sur du velours. Après que Raoult et consorts ont déliré et menti (mais ils déliraient, mentaient et truquaient depuis longtemps), que Péronne et compagnie ont dérapé (mais ils déliraient, mentaient et truquaient depuis longtemps), que Buzyn, Salomon et l'Etat ont déliré (mais ils déliraient, mentaient et truquaient depuis longtemps), il était tellement facile de passer pour de purs esprits scientifiques.

Voici dans le désordre les mesures sur lesquelles les scientistes n'ont cessé d'avoir raison : port du masque chirurgical dehors, port du masque chirurgical dedans, port du masque ffp2 dehors, port du masque ffp2 dedans, nettoyage des surfaces, lavage des mains, jauges dans les magasins, distance physique 1 mètre, distance physique 1,5 m, distance physique 2 m, confinement, fermeture des écoles, fermeture et/ou ouverture des commerces et lesquels, capteurs de CO2, aération des pièces, contrôle des frontières, dépistage, traçage, isolement, sensibilité et spécificité des tests RT-PCR, des tests antigéniques, des auto tests, des tests salivaires, ...

Le problème des scientistes en médecine, tient à plusieurs choses : la médecine n'est pas une science mais une méthode pour prodiguer des soins dans le cadre d'une alliance thérapeutique entre le soigné et le soignant. La méthode expérimentale n'est pas neutre tant pour le choix des sujets de recherche, leur financement, que pour leur interprétation et leur publication. Les pratiques de soins les plus répandues ne sont pas toujours (rarement ?) fondées sur des preuves expérimentales de bonne qualité. Les agences gouvernementales qui valident les soins ne sont pas indépendantes.

Mais surtout : un certain nombre de médecins partisans de la Science pure et dure estiment que la médecine est une science Inhumaine (qui ne doit pas avoir de liens avec les "prétendues" sciences humaines) et une science Asociale (qui ne doit pas avoir de liens avec les "prétendues" sciences sociales)

En réalité les chercheurs ont raison de mener des recherches mais ont tort de considérer que ceux qui ne pensent pas comme eux à un instant t sont des ignares ou des menteurs. Et, au lieu de s'attaquer aux citoyennes et aux citoyens qui n'ont pas leur éminente culture scientifique, ils auraient dû balayer devant leurs portes, dénoncer depuis des dizaines d'années les institutions académiques, leurs collègues qu'ils fréquentaient ou non dans des congrès internationaux ou au chevet des malades ou autour des paillasses qui ne respectaient pas les pratiques de la science expérimentale.

Est-il encore temps ?

Y aura-t-il un après Covid de la recherche ?






5 - Un monde sans.

Le monde Orwellien. Les restrictions, c'est la liberté.

Il ne s'agit d'ailleurs pas d'un article comme mentionné par Barbara Serrano mais d'un commentaire, une opinion en quelque sorte. Voir ICI.

Ce commentaire rappelle furieusement les comparaisons hâtives de John Ioannidis entre les pays : l'auteur Oliu-Barton donne en exemple des pays qui sont peu représentatifs de la pandémie mondiale comme la Nouvelle-Zélande, l'Islande, la Corée du sud, le Japon ou l'Australie.

Rappelons que tout ce beau monde, Miquel Oliu-Barton et certains autres co-auteurs, travaillent pour l'institut Bruegel dont le président est Jean-Claude Trichet, ex gouverneur de la banque de France, ex président de la Banque centrale européenne, institut dont le financement est assuré, outre par de nombreux fonds européens publics, par des entreprises privées sans doute neutres de tout engagement partisan comme (voir LA à la page 96 du rapport financier 2018 et la note en bas de page) Amazon, Mastercard, Novartis, Pfizer,  Sanofi, Shell ou Standard and Poor's. 

On voit que les auteurs qui émanent de cet institut privé ne sont pas des gauchistes : on peut leur faire confiance sur l'économie.

Le monde sans est une donnée classique des démagogues en santé publique : un monde sans cancer, un monde sans sida, un monde sans maladies, un monde sans douleurs, un monde sans mort. C'est aussi un vieux thème de science-fiction avec le célébrissime soma du Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley.

Quel soignant n'aimerait pas un monde sans tabac, sans alcool, sans héroïne ? ...

Cette utopie du monde sans cache une réalité sociale que les instituts néolibéraux sponsorisés par les institutions néolibérales et par les firmes mondialisées masquent : ce ne sont pas que les vieux qui sont morts ou qui sont atteints par la Covid, l'injustice ce n'est pas les jeunes qui meurent quand même, ce sont les pauvres, les immigrés, les travailleurs qui ne peuvent télétravailler, les personnes qui sont entassées dans des appartements trop petits, les personnes qui utilisent les transports en commun. Ici, nous parlons de la France. Mais, mondialement, où sont les morts ? Majoritairement dans les pays à faibles et moyens revenus. Mais une étude anglaise portant sur 17 millions de personnes montre que les minorités ethniques sont les plus touchées, en Angleterre, par la Covid : LA.





Les compagnies qui soutiennent les soutiens des auteurs de l'article










dimanche 8 octobre 2017

Crise Levothyrox : ce que nous aurions pu apprendre.


Nous aurions pu apprendre ceci de la crise Levothyrox qui n'est pas finie (et pardon si je me répète : voir ICI mon premier billet datant du mois d'août) et vous ne trouverez pas ici de solutions définitives, pas de vade mecum pour les patientes, pas de guide-lines pour les prescripteurs/trices, pas  de fokon yaka pour les décideurs, seulement des faits, des idées, des pistes de réflexion, des ouvertures de portes vers le Sentier de traverse, et cetera  :
  1. Le profond mépris des soignants pour les soignées (vous ne m'enlèverez pas l'idée que le fait que l'immense majorité des patients soit des femmes explique en grande partie la façon dont le corps médical a réagi -- et l'idéologie médicale est si genrée que les femmes docteures sont aussi méprisantes que leurs collègues masculins  pour les patientes qui se plaignent).
  2. Ce mépris genré (que l'on retrouve dans des pathologies dites "féminines", les femmes migraineuses, les femmes dépressives, la contraception féminine, et cetera) s'est nourri d'une grande indifférence (ceci expliquant cela) : comment prescrire les hormones thyroïdiennes, à quel moment, les interférences avec le bol alimentaire, les erreurs de dosage de la TSH, les variations inter-individuelles comme intra-individuelles, le rythme circadien, et cetera. Et, ce que les cliniciens avisés et attentifs savent depuis longtemps à condition d'interroger et d'écouter les patientes : la symptomatologie clinique peut être dissociée et/ou différée dans le temps pour chacun des signes cardinaux de l'hyper, de l'eu et de hypothyroïdie chez une même patiente. 
  3. La forte conception scientiste/mécaniciste qui règne toujours dans la médecine et qui fait fi, épidermiquement, de la Médecine par les Preuves (EBM en anglais), de la médecine centrée sur le patient et de la décision partagée.  Et ainsi la patiente traitée n'est-elle pas considérée comme un être humain, accessoirement féminin, mais comme un taux de TSH ambulant (et, épisodiquement comme des taux de T3/T4 circulants). Pourtant la TSHémie n'est qu'un (mauvais) critère de substitution comme un autre et, qui plus est : 
  4. Le dosage de la TSH fait partie des dosages les moins fiables en médecine. Non seulement parce que les critères de normalité sont très larges mais parce que les facteurs pouvant influencer ses variations sont très nombreux. Il suffit aux patientes et à leurs médecins prescripteurs de se replonger dans les dossiers pour constater les variations de la TSH que l'on constatait (en les négligeant) avant le changement de formulation. Ils seront édifiés. Voir le tableau joint en fin de billet sur l'imprécision des dosages.
  5. Le concept pharmacologique de bio-équivalence vole en éclat. La bio-équivalence n'est tout simpement pas une donnée clinique, contrairement à ce que voulaient nous faire accroire les pharmacologues et les dci-olâtres. Il est certain que deux médicaments bio-équivalents ne sont pas clinico-équivalents chez le même patient. On le savait, mais ceux qui le disaient n'étaient pas pris au sérieux sauf dans les cas de marge thérapeutique étroite.
  6. L'idéologie des génériques devient fragile : la bio équivalence sur laquelle leur efficacité clinique est fondée est battue en brèche et la notion d'excipients sans effets notoires tombe toute seule (non pour de simples raisons pharmacologiques, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, mais pour des raisons qui tiennent aux relations soignants/soignés, au consumérisme et au marketing). Mais surtout, il est désormais possible de comprendre pourquoi des citoyens malades refusent de consommer des génériques et pourquoi ils rapportent que leur consommation entraîne des effets indésirables. 
  7. Les médicaments génériques sont une catastrophe pharmaceutique, une catastrophe médicale, une catastrophe économique (contrairement à ce que l'on croit les génériques ne font pas baisser les prix), une catastrophe socio-épistémologique, une catastrophe épistémo-anthropologique, une catastrophe politique et bien entendu une catastrophe pour les patients
  8. Les praticiens prescripteurs ont découvert l'effet nocebo et l'ont attribué seulement à l'influence des media. Il ne faut pas ignorer qu'en pratique médicale courante l'effet nocebo, et pas seulement dans la pathologie thyroïdienne, est induit par le prescripteur (lire Balint, le relire, ne pas considérer qu'il n'a dit qu'une seule chose,"le meilleur médicament c'est le médecin", car il a aussi dit que c'était une croyance auto-suffisante de médecin dont il fallait se méfier car le pire médicament c'était aussi le médecin : d'où l'intérêt des groupes Balint pour analyser comment cela s'est passé). L'effet nocebo (ICI), au même titre que l'effet placebo (vous en voulez une nouvelle couche ? c'est LA), existe et ne doit pas être négligé et/ou considéré comme une "preuve" de la bêtise, de l'ignorance, de l'incompétence, de la crédulité des soigné.e.s.
  9. Les associations de patients sont comme le reste de l'humanité organisée ou non : le pire et le meilleur. Cette affaire devrait, à mon avis, leur permettre d'élargir le champ de leurs compétences... Mais aussi de réfléchir aux points suivants (je sens que je vais me prendre une volée de bois vert) : indépendance vis à vis de l'industrie ; indépendance vis à vis de l'Etat et de ses représentants ; indépendance vis à vis des experts ; posséder un solide carnet d'adresses d'experts indépendants ; ne pas croire aux sirènes de la renommée ; "faire" la littérature dans son domaine de compétence ; et cetera. Pour le reste : soutien et empathie pour les patients qui s'en remettent à eux (j'imagine que c'est déjà fait).
  10. La pharmacovigilance quantitative (le recueil sauvage des effets indésirables sans imputation) n'apportera rien sinon alimenter un bruit de fond qui gênera la pharmacologie qualitative (celle qui est passée en France à travers tous les "scandales" médicamenteux).
  11. Les autorités gouvernementales, agencielles, académiques, et cetera, ont été au dessous de tout, n'anticipant rien (voir l'affaire néozélandaise), ne comprenant rien, ignorant que la prescription de Levothyrox s'adressait à des patient.e.s qui n'étaient pas un taux de TSH ambulant (voir supra le point 3), qui avaient un.e médecin traitant et/ou un.e endocrinologue prescripteurs, qui se rendaient chez le pharmacien (et merdre pour l'écriture inclusive), qui lisaient la presse, regardaient la télévision, écoutaient la radio, qui n'étaient pas des sujets obéissants aux diktats des experts. 
  12. L'information, l'instruction, la transparence, l'humilité, le respect des autres, ne font pas partie des actions habituelles du grand mandarinat représenté par Madame Buzyn, digne marionnette automanipulée par le lobby santéo-industriel.
  13. La réintroduction de l'ancien Levothyrox sous un autre nom (Euthyrox) coexistant à la fois avec le nouveau Levothyrox et avec la nouvelle L-Thyroxin du laboratoire Henning (distribué avec notice en allemand) qui contient des excipients différents de l'ancien et du nouveau, vous me suivez ?, est une khonnerie prodigieuse qui entrera dans les annales de la bêtise crasse et absolue pimentée de consumérisme, de clientèlisme, de calculs politiciens, c'est une décision aveugle et bureaucratique.
  14. Mais, et si au bout du compte, l'affaire Levothyrox, comme me l'a glissé un collègue, FB sur la liste de discussion des lecteurs Prescrire, n'était finalement qu'une simple affaire sociologique nourrie par la rumeur, l'emballement mimétique et le complotisme ? FB ajoutait ceci : "Et ce n'est pas mépriser les patients que de le dire. Au contraire, c'est de les prendre au pied de la lettre qui me semble irrespectueux." Je ne suis pas d'accord avec cela car, et c'est un autre membre de la liste de discussion Prescrire qui le souligne, JPL, "Une pathologie (et un fait en général) peut être tout à fait réel et en même temps se voir affecté d'un phénomène d'amplification cognitive collective/culturelle/médiatique etc. " Faudrait-il résumer l'affaire comme le fait AM sur cette même liste : "Si un patient souffre après changement de formule, il n'y a que quatre explications possibles : effet direct de l'excipient, problème lié à la biodisponibilité, effet nocebo, pathologie intercurente" Tout est dans tout et réciproquement, ma brave dame. 
  15. N'oublions pas, pour finir, le disease mongering ou la fabrication des maladies  : En Nouvelle-Zélande, il y a proportionnellement 3,5 fois moins de patient.e.s traité.e.s quen France.

Les imprécisions des dosages en biologie : à droite toute pour la TSH.

Il vous reste toujours la réflexologie plantaire :