J'étais parti pour Berlin et il m'était ainsi difficile de lire derrière son épaule.
Cela tourne toujours autour de Roselyne.
A bientôt sur cette antenne.
Les médecins généralistes constituent le groupe professionnel le plus important en santé publique d’un point de vue économique, médical et social. La médecine générale manque pourtant de reconnaissance : elle n’est pas assez enseignée, elle ne fait pas l’objet d’assez de recherches, elle ne reçoit pas assez de ressources. C’est pourtant elle qui innove tous les jours dans la relation médecin patient et qui lutte contre la déshumanisation de la médecine tout entière. Vive la médecine générale !
Vous pourrez lire les articles et constater qu'il est possible de critiquer la façon dont ces essais observationnels ont été menés, notamment pour ce qui concerne la non connaissance des antécédents familiaux thrombo-emboliques qui auraient pu entraîner les médecins, sous l'influence du marketing des nouveaux produits, à plus utiliser ces derniers en cas de risques familiaux avérés.
Ces essais apportent encore deux éléments importants :
Dernier point : pour les médecins, comme moi, qui ne sont pas familiarisés avec la dci des pilules, voici des noms de marque (liste non exhaustive)
Pilules à prescrire : Levonorgestrel : Adepal, Ludéal, Trinordiol, Microval (lors de l'allaitement) ; Norethisterone : Triella.
Pilule à évaluer. Norgestimate : Cilest
Pilules à éviter : Désogestrel : Cerazette, Mercilon, Varnoline Drospirone : Jasmine ; Cyproterone : Diane
Est-ce clair ?
Il faut se méfier d'une recherche Google sur la drospirone car elle conduit à un article sur "les inégalités sociales d'accès à la contraception en France" qui, sous le couvert de l'institut national de la santé et de l'Institut national d'études démographiques, vante les pilules de troisième gébnération (l'article est sponsorisé par Wyeth-Lederlé). L'étude vante mais on y lit quand même que les pilules de troisième génération, selon les déclarations des patientes, n'entraînent pas une meilleure qualité de vie !
DERNIERE NOUVELLE ! Pour des raisons que seul le Ministère de la Santé connaît (et on laisse le lecteur comprendre où sont les intérêts des uns et des autres) la Varnoline est désormais remboursée !
Il faut donc lire : Contraception hormonale féminine : NON AUX PILULES NON REMBOURSEES ET A LA VARNOLINE !